Match décisif pour l’attribution du classement final, c’est Bordeaux qui va bien commencer la parite grâce à un but de Courally. Lassalle ne tarde pas à doubler la mise, les Boxers tiennent le match par le bon bout et Jan Majercak inscrit un nouveau but. Dès la reprise, Sebastien Gauthier réduit la mise. Les Jokers semblent retrouver le bon tempo, et Edouard Outin rapproche le score. Bordeaux ne s’en laisse pas compter et Cauly met ses coéquipiers à l’abri avant la pause. Les Bordelais très impressionnants, vont dérouler dans le dernier tiers, Larrieu puis Savage portent le score à 6-2. Cergy demande son temps mort, celui-ci va s’avérer bénéfique puisque les Jokers vont scorer quelques minutes après, grâce à Lapierre. Xavier Lassalle en véritable bourreau, va clouer les espoirs cergypontains en marquant l’ultime but de la partie.

Bordeaux s’impose et fait le trou avec ses poursuivants, les Bordelais sont toujours à deux points de Caen. Très mauvaise affaire pour Cergy qui chute à la sixième place.

Le vainqueur de cette rencontre obtiendra la très convoitée huitième place. Les Niçois semblent les plus forts à ce jeu-là, en effet, c’est Mickaël Mahaut qui ouvre le score. Une minute plus tard, Perronard double la mise, les locaux rentrent aux vestiaires avec deux longueurs d’avance. Pontus Karlsson score dès la reprise, les Aigles déroulent et Bobik ajoute un nouveau but. Le Courbevoisien Sébastien Trabach sauve l’honneur des Coqs qui sont complètement dépassés par le promu azuréen. Tomas Banas marque à son tour dans une ambiance survoltée du côté de Jean Bouin. L’excellent Mahaut inscrit son deuxième but de la partie, Tobias et Pontus Karlsson marquent tour à tour pour conclure ce match.

Nice s’impose haut la main et reprend la huitième place, Courbevoie descend au neuvième fauteuil.

Les Chevaliers doivent s’imposer pour encore rêver de play off, mais la partie commence mal pour eux ; en effet, c’est Bertrand qui ouvre le score. Les Avignonnais poussent et Carignan double la mise. Annecy comme à son habitude n’arrive pas entrer dans le match, dans le second tiers Romain Laplace double la mise. L’ex-Chamoniard Rastislav Böhme redonne deux longueurs d’avance aux Castors. Les Anneciens n’ont pas encore baissé les crosses et Marc Billieras rapproche le score. Dans le dernier tiers Avignon joue le temps pour essayer de conserver son avantage, profitant d’une des nombreuses pénalités des locaux, Carl Lauzon double la mise et annihile du même coup les espoirs des visiteurs.

Annecy chute de nouveau et se trouve désormais à quatre points de la huitième place, Avignon s’impose et prend la quatrième place.

Les Chiefs avaient une obligation de résultat, mais cela commence mal puisque c’est Antoine Pelisse qui ouvre le score. En toute fin de tiers, Damien Ilczyszyn égalise, dès l’entame du second tiers, Alexis Pelisse refait passer les Lynx devant. Les Gargeois tiennent bon, et Kurilovsky remet les deux équipes dos à dos. Garges pousse mais c’est Medeiros qui va scorer. Les locaux prennent de l’avance lorsque Savajol fait trembler les filets de Constantin. Antoine Pelisse marque le cinquième but valentinois, il complète le hat trick quelques minutes plus tard. En toute fin de match, Vladimir Kubus sauve l’honneur gargeois.

Cette fois Garges n’a plus d’autre alternative que de gagner tous ses matchs et que Reims ne prenne aucun point pour espérer sauver sa peau. Valence toujours septième, tient la corde et à tous les atouts pour se qualifier en play off.

Les Caennais devaient s’imposer à Viry pour conserver leur seconde place, match ultra-déséquilibré s’il en est. Vandecandelaere ouvre le score pour Caen, Poudrier double la mise. Papaux puis Poudrier scorent tour à tour. Les Castelvirois réagissent enfin, et Guillaume Jeannette marque le premier but des locaux. Bennett déjoue Morel Hervilard pour le cinquième but caennais. Dès la reprise, Poudrier complète le hat-trick, le héros des Jets, Kevin Ledoux réduit le score fleuve. Graham Avenel marque à son tour, Viry n’est pas si largué qu’il n’y paraît. En effet, Kodyjasz réduit une nouvelle fois la mise, mais Graham et Jonathan Avenel inscrivent tous les deux un but et mettent leur adversaire KO. Mans Papaux fait trembler les filets des locaux pour la dixième fois d’affilée. Dans le dernier tiers, les Drakkars réduisent la voilure, Chrétien en profite pour marquer un nouveau but pour Viry. Kevin Da Costa donne le dernier mot aux Normands.

Caen explose son adversaire et conserve son second fauteuil, Viry chute de nouveau.

Les Galaxians se déplaçaient à Gap avec un effectif très réduit, et risquaient une sacrée correction chez l’intraitable leader. Comme à son habitude, Gap démarre le match timidement, Jean-Charles Charette ouvre le score après 11 longues minutes de jeu. Jiri Rambousek double la mise sur un bel exploit personnel. Dans le deuxième tiers, les Rapaces vont lâcher la bride et vont dérouler, Correia marque dès la reprise. Charette inscrit son deuxième but, en face, Amnéville lâche totalement prise. Jelen, puis Hopson font sauter les buts de Dietrich. Le but de Romain Moussier provoque la sortie du portier des visiteurs, il est remplacé par Mauris. Dans le dernier tiers, les Mosellans semblent retrouver des couleurs, et Jonathan Paredes réalise un doublé. Gap resserre les boulons et reprend le match à son compte, Keenan Hopson score et fait oublier le baroud d’honneur des visiteurs. Rambousek et Piras entérinent la vingtième victoire gapençaise.

Gap continue de foncer à toute allure vers les play off et ne ralentit pas, Amnéville s’est fait littéralement balayé est reste onzième.

Ondrej Prokop ouvre le score pour les Rémois, les Montpelliérains ne tardent pas à réagir et Fornaguera égalise pour les visiteurs. Les Phénix réussissent bien à bloquer les Vipers et imposent leur rythme de jeu. Valere Vrielynck redonne l’avantage à Reims, mais Vernikov égalise. Dans le dernier tiers, les Phénix semblent épuisés et Montpellier n’a qu’à pousser pour les faire tomber. C’est Yann Fornaguera qui se charge de marquer le but vainqueur.

Montpellier s’impose et passe à la cinquième place, Reims s’incline de justesse et n’a toujours pas assuré son maintien.