Il n’y aura pas eu d’exploit pour les Renards orléanais qui auront néanmoins fait planer le doute jusqu’à mi match en égalisant à 2 partout à 29mn49. Mais passé la moitié de la partie poussés par 1500 supporters les Toulousains vont passer à la vitesse supérieure et marquer dans un 1^er temps 3 autres buts avant la 2^ème pause. Ils en rajouteront 2 autres dans l’ultime période surtout marquée par beaucoup d’indisciplines (21 pénalités dont 2 de 10 mn.). Finalement les Bélougas ont amplement confirmé nos tendances dans une rencontre tendue. On remarquera que, comme à l’aller, c’est dans le 2^ème tiers qu’Orléans aura craqué. Néanmoins se retour en D2 après plus de 10 ans aura été suffisamment réussi pour assurer un maintien avec play-offs à la clé. Toulouse-Blagnac devra confirmer ses bonnes dispositions face à Valence dont ils auront l’avantage d’avoir la préséance, ce qui ne sera pas de trop car en saison régulière ils s’étaient inclinés à chacune des 2 rencontres face aux Lynx.  

L’affiche fut donc bien aussi indécise que prévue pour finalement aboutir au résultat que nous avions pronostiqué. C’est Courbevoie qui ouvrit les hostilités en ouvrant le score à la 14^ème minute. Mais les défenses prirent largement le pas sur les attaques puisque rien ne sera marqué par la suite jusqu’à l’approche de la 49^ème minute et ce fut alors le but de l’égalisation. Malgré les pénalités de part et d’autre, le tableau d’affichage ne bougea plus jusqu’au coup de sirène final. La prolongation inévitable tourna finalement en faveur des banlieusards alors qu’il ne restait plus guère de temps de jeu. Cette victoire des Coqs remet les 2 équipes à égalité et ouvre la porte à qui sera finalement le seul match d’appui de ce 1^er tour.
 
  Les Coqs caressaient l’espoir d’être la 2^ème équipe de la poule nord à passer les 8èmes de finale. Nos cotes des plus serrées étaient néanmoins en faveur du HOGLY. Or si le résultat final nous donnait raison, nous ne nous attendrions pas à un tel écart. Pourtant cela avait bien commencé pour les Franciliens qui marquèrent le seul but de la 1^ère période. Mais rapidement les Aigles vont voler dans les plumes des Coqs en inscrivant 3 buts dans un 2^ème tiers pour le moins agité au niveau des pénalités. Malheureusement dans une dernière période tout aussi agitée, les Courbevoisiens ne purent jamais reprendre pied, bien au contraire, puisqu’ils encaissèrent 3 nouveaux buts. La Roche-sur-Yon sera donc la 7^ème équipe de la poule sud à participer aux quarts de final. Ils vont affronter l’équipe de Lyon qui s’annonce comme l’épouvantail de ces phases finales et qu’ils n’avaient pu réussi à battre lors des 2 confrontations en saison régulière.

 

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Match retour samedi 8 mars

Certes nous avions donné comme favoris les Valentinois, auteurs d’une belle fin de saison régulière, mais nous nous attendions à bien plus de suspense avec une belle réaction des Parisiens. Or contre toute attente ces derniers auront bien trop vite lâcher le match avec un cinglant 3-0 dès la fin de la 1^ère période dont un but encaissé alors qu’ils étaient en supériorité numérique. Le 2^ème tiers confirmera la domination drômoise avec 3 nouveaux buts dans les 3 premières minutes. Puis les Lynx se contenteront de gérer calmement les affaires courantes avec une seule réalisation dans la dernière période et cela d’autant plus aisément que l’indiscipline des Volants leur facilita certainement la tâche. A nouveau Paris sort de la compétition dès le 1^er tour en 2 manches sèches malgré l’avantage conférée par leur classement. Valence s’apprête à recevoir un plus gros client, Toulouse-Blagnac, pour des retrouvailles mais qui ne leur avait pas si mal réussi puisqu’ils les ont vaincus par 2 fois.

 

 

Match retour samedi 8 mars

Et s’il n’y en a qu’un, ce sera Reims. Notre pronostic s’est donc avéré juste, seules nos cotes prévoyaient une rencontre plus équilibrée. Mais finalement il fut trop dur pour les coachs de Vaujany et Grenoble de gérer à la fois le championnat D2 et ceux des U20 et U18. S’ils ont pu aligner 13 joueurs de champ et 2 gardiens dont certains des espoirs de grandes valeurs, ce ne fut pas suffisant pour résister à la pression de Phénix un peu plus expérimentés. Ce sont pourtant bien les Grizzlys qui ouvrirent la marque à l’approche de la 5^ème minute. Mais les Champenois égaliseront et passeront même devant quelques minutes avant la pause. Les Isérois ne retrouveront jamais plus le chemin des filets, contrairement aux Rémois, tout du moins dans le tiers médian avec 3 autres réalisations. Plus rien ne sera marqué en dernière période ; on restera sur ce score de 5 à 1. Très rapidement les jeunes grenoblois vont se consoler en se concentrant sur les phases finales U20 (d’ailleurs certains seront alignés dès le lendemain pour un quart de final U20 retour gagnant face à Gap) alors que l’aventure continue pour Reims qui est désormais le seul représentant de la poule nord dans ces phases finales. Ils seront opposés à Roanne ce qui ne sera une mince affaire d’autant qu’ils n’auront plus la préséance et donc devront tenter d’arracher leur quafication chez l’adversaire.

 

 

Match retour samedi 8 mars

Match au combien prolifique en but mais dont le résultat final sera bien conforme à nos tendances. Pour autant, les Tornados, assez fidèles à leur réputation de bien performer à l’extérieur, auront mené la vie dure aux Vipers lors des 2 premières périodes. Menés d’1 but à la fin de la première, 4-3 ; faisant jeu égal à la deuxième, 2-2 ; c’est finalement dans le dernier tiers qu’ils ne pourront contenir la vague montpelliéraine en encaissant 5 buts pour n’en rendre qu’1 seul. Peut-être ont-ils payé ici la longueur du déplacement jusqu’à Castres (plus de 1000km). Toujours est-il que les Héraultais ont su en fin de rencontre très bien s’accommoder de ce petit détour par la patinoire rénovée de la cité tarnaise. Luxembourg, malgré cette élimination, aura fait une belle saison en sachant bien s’adapter à la D2, surtout en 2^ème partie de saison régulière. Montpellier file donc en quart où ils iront d’abord affronter les Chevaliers sur les bords du lac d’Annecy avant de les accueillir sur les bords de la Méditerranée. Attention, lors de la 1^ère phase, même si mieux classés, les Vipers eurent bien du mal à l’emporter en Savoie avant de s’incliner à domicile. La partie s’annonce donc indécise.

 

 

La patinoire Fontalon avait fait le point pour voir les Renards confirmer brillamment le résultat du match aller. Et effectivement sans surprise le match retour confirma la supériorité des Ligériens et par la même notre pronostic assez largement en leur faveur. Pourtant cette victoire s’avéra plus difficile à conquérir qu’à Evry. Peut-être un petit excès de confiance ? Ainsi les 2 équipes ne purent se départager au 1er tiers, 1-1, et ne tourna à l’avantage des locaux que quasiment en milieu de 2^ème tiers avec cette fois le break de 3 à 1 à la 2^ème pause. Les Roannais gèreront le dernier tiers en s’imposant par le plus petit des écarts de 2 à 1 et un score final sans conteste mais somme toute assez raisonnable de 5-2. Au prochain tour Roanne se déplacera chez la seule équipe de la poule nord encore présente, Reims, avant de la recevoir à Fontalon.

 

 

Match retour samedi 8 mars

Match à suspense où les 2 équipes se seront rendues coup sur coup et qui, si finalement n’aura pas abouti au résultat que nous avions pronostiqué, aura au moins justifié des cotes équilibrées. Après s’être neutralisés en 1^ère période (ouverture du score par les visiteurs), les Champenois vont mener à la fin du 2^ème en l’emportant par la plus petite des marges, 1-0. Malheureusement pour eux, les Savoyards égalisent rapidement dans le dernier tiers et prennent même les devants à moins de 6 minutes de la fin. Mais alors que l’on approchait des 2 dernières minutes, les très nombreux supporters (plus de 1200) reprirent espoir avec l’égalisation des Gaulois. Las la prolongation arrachée avec tant de peine sera fatale au leader de la poule nord avec le but en or de Tomas Marcinek, son 2^ème de la soirée. Certes les Châlonnais auront fait plutôt une belle saison pour un promu en dominant sa poule ; il n’empêche, c’est toujours dure de se faire éliminer dès le 1^er tour par le dernier qualifié de l’autre poule, prenant en cela la pénible succession de Paris 2024. Après un début de saison assez catastrophique, les Chevaliers ont su vivement redresser la barre au bon moment et prendre, eux, la suite de la surprise lyonnaise de la saison dernière ; Sauront-ils poursuivre l’aventure aussi loin que leurs devanciers ? Leur prochain adversaire sera Montpellier et là aussi il ne faudra pas rater la 1^ère manche puisque les suivantes seront chez les Vipers. Les oppositions s’annoncent d’autant plus équilibrées qu’en saison régulière chacune des 2 équipes s’était imposée . . . chez l’autre.

 

 

Match retour samedi 8 mars

Lyon 19 - 2 Rouen II (58-42)
A l’impossible nul n’est tenu, les espoirs rouennais jouaient un match trop important en play-off du championnat U20 élite face au voisin caennais pour pouvoir défendre pleinement leur chance à Lyon. Contrairement à la réserve d’Anglet il n’y a pas de vétérans avec une véritable carrière en Magnus pour épauler et combler en partie les absences à l’exception de Maxime Dordet. Aussi l’effectif envoyé dans la capitale des Gaules se limita au strict minimum réglementaire, soit 1 gardien et 10 joueurs de champ et l’absence de tous leurs buteurs habituels, l’exception étant encore Maxime Dordet. Par la même ce fut une véritable balade lyonnaise et nos cotes, pourtant largement en faveur des Gones, paraissent encore trop équilibrées. Encaissant déjà 4 buts dans le 1^er tiers, 5 dans le 2^ème, où ils eurent néanmoins le mérite d’en inscrire 2, ils s’écroulèrent complètement dans le 3^ème en allant par 10 fois chercher le palet au fond de leur filet. Fort logiquement la fatigue rendit la partie complètement inégale. A vaincre sans péril on triomphe sans gloire et les Lions doivent vite mettre entre parenthèse une rencontre qui ne fut qu’un petit galop d’entraînement pour vite se concentrer sur des quarts de finale où ils seront favoris mais ne connaîtront certainement pas la même facilité. Ils seront confrontés à La Roche-sur-Yon qu’ils ont rencontré par 2 fois lors de la phase régulière. Si les Lyonnais se sont largement imposés en Vendée, cela fut paradoxalement plus dur chez eux.
 

 

 
Rappelons que, probablement lié à un problème d’indisponibilité de patinoire, l’autre rencontre Dijon – Anglet II a été reporté au 5 avril et donc il n’y avait qu’une seule rencontre concernant la poule de maintien avec cette affiche inédite entre 2 clubs qui ne se sont plus rencontrés depuis plusieurs saisons. Clermont-Ferrand recevait pour la 2^ème fois alors que pour Wasquehal c’était son 2^ème déplacement.


 

 
Si la logique, tout au moins celle de notre analyse, fut respectée ce fut avec bien plus de difficulté que ne laissaient présager nos cotes. Car ce sont bien les Nordistes qui ouvriront le score en fin de 1^er tiers et les puydômois auront juste le temps d’égaliser avant la pause. Si ces derniers parviennent à prendre les devants à la 26^ème minute, les Lions reviendront à égalité 3 minutes plus tard. Mais moins de 5 minutes avant la pause les Sangliers réussirent à reprendre l’avantage. Cependant un but d’avance cela reste bien maigre et la lutte sera acharnée dans l’ultime période où les Wasquehaliens joueront leur chance jusqu’au bout en faisant sortir leur gardienne Alice Philbert. Las, ce sont bien les Arvernes qui vont clore la rencontre sur un dernier but en cage vide à 45 secondes de la fin. Si bien sûr, comptablement parlant, Clermont fait la bonne opération, rien n’est encore joué pour ce club qui a remporté ses 2 premières rencontres mais toutes à domicile. Il va falloir maintenant tenter de confirmer à l’extérieur. Toujours aucun point de marquer pour Wasquehal mais la prestation de ce soir redonne quelques espoirs à ces derniers après la lourde défaite d’Anglet. De plus ils ont certes aussi disputé 2 rencontres mais à l’extérieur. Cela peut changer à la maison.