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Hockey sur glace - Equipes de France
EDF: Du coeur et un certain talent.
 
Après une courte défaite la veille à Lyon, la France retrouvait une seconde fois la Norvège à Grenoble.
 
Grenoble, Hockey Hebdo Laurent Labrot, Christophe De Meeus, Damien Magnat le 13/11/2011 à 02:34
C'est dans une patinoire Pôle-Sud à guichet fermé que les équipes se retrouvaient pour un échauffement qui confirmait les titularisations de Quemener et de Grotnes. Avec aucune blessure de part et d'autre lors de la première rencontre, les deux effectifs se présentaient à l'identique sur la glace. A noter également l'arbitrage à 4 avec messieurs Bergamelli et Fabre associés à messieurs Loos et Barbez.


Photo hockey Equipes de France - Equipes de France - EDF: Du coeur et un certain talent.
Photographe Laurent Lardière
P. Grotnes repousse devant Y.Treille
Tendance France


Le début de rencontre voyait les tricolores se ruer à l'assaut du but d'un Grotnes pas franchement en forme internationale ce soir, avec en particulier un nombre très important de palets mal renvoyés. Après un premier lancer de Meunier qui en bon capitaine montrait la voie, un beau slap de Manavian à la bleue rebondissait sur le gardien qui le cherchait ensuite tandis que les attaquants français se ruaient pour tenter de pousser dedans.


La Norvège répondait par quelques montées assez timides, avant de bénéficier d'un premier jeu de puissance à 2"06 qui voyait Quemener dire non à une reprise de Martinsen bien servi dans le traffic. Hormis cette alerte, la pénalité était assez calme pour les Français, les minutes suivantes voyant les deux équipes peiner à sortir de leurs zones avec des échecs avants assez musclés de part et d'autre.

Dans une rencontre plutôt fermée, quelques tirs voyaient les deux gardiens jouer des jambières, comme un lancer bas pris par Roymark à 7"40, Desrosiers manquant de peu une déviation gagnante à 9"10.

Quelques palets relâchés par Grotnes plus tard, le jeu toujours musclé mais correct va produire une première pénalité contre les visiteurs à 10"53.

Cette dernière ne donne rien, mais la suivante à 13"23 va permettre aux Français de prendre l'avantage.

Suite à une première tentative de Treille qui vient frapper à la porte en se retournant, c'est Guttig qui va compter en mettant au fond l'énième palet mal renvoyé par le cerbère norvégien, et ceci après des lancers de Manavian et Bellemare à 14"33. (1-0) Un but qui récompense les très belles dispositions du joueur de Dijon et confirme qu'il est bien un danger offensif tant en Magnus qu'en équipe de France.

La fin de période sera plus compliquée pour les Français qui vont défendre et devoir concéder plusieurs dégagements interdits. A 16"10, Roymark trouve le haut du poteau d'un Quemener qui semblait battu, première de plusieurs tentatives norvégiennes dans une attaque défense qui paraît bien longue côté tricolore.

Pourtant, Bertrand, autre joueur incontestablement en vue dans cette équipe, y allait d'un slalom pour finalement dégager son camp, les Français parvenant ainsi à conserver leur avance jusqu'au vestiaire.

Tirs: 8/7 Norvège

Engagements: 7/5 France

 

La Norvège perd le nord.


La reprise voyait les Français sanctionnés par deux fois, Da Costa s'expliquant avec Holtet avant que Desrosiers ne prenne un retard de jeu.

Pourtant, la Norvège restait bien lente et empruntée durant la minute de killing play, avec un hockey solide mais bien stéréotypé et surtout manquant cruellement de joueurs de talent  susceptibles de créer du jeu, à l'exception d'un Holtet intéressant mais seul dans le registre.

En face, Quemener désormais en confiance va confirmer sa bonne prestation en captant plusieurs palets dont un parmi la forêt de joueurs devant lui à 26"40.

Les tricolores qui ont bien laissé passer l'orage vont dès lors enchanter le public avec cinq minutes de pure folie comme on n'en avait pas souvent vue en équipe de France.

A 27"34, Meunier (et non pas Bellemare comme indiqué sur la feuille de match) va mettre les deux délégués à l'échec avant adverse dans le vent et filer pour servir plein axe et à fond les manettes, un Guttig qui met une lucarne de jeu vidéo et signe pour son doublé le plus beau but de la soirée . (2-0) Une réalisation acquise en jeu de puissance mais qui relève surtout d'une transmission offensive à pleine vitesse à montrer dans les écoles de hockey.


Pas dans le coup, visiblement énervée par la tournure que prend la rencontre, la Norvège va aller protester, habitude qu'elle conservera pour le reste de la rencontre et qui, disons-le clairement, ne donnera pas une très haute idée de la sportivité.

A 28"27, C. Bertrand hérite d'un palet à la bleue, et voit le mauvais placement de Grotnes. Il lance alors avec une grande précision et loge le palet dans le coin gauche de la cage norvégienne pour un but ici encore venu d'ailleurs. (3-0)

 On comprend mieux pourquoi Bertrand est titulaire en élite finlandaise, et, confidence pour confidence, sur certaines séquences ce soir, le joueur paraît voué à un très grand avenir.

Clairement hors du coup depuis la reprise, les Norvégiens vont avoir pour mérite de s'accrocher, et sortir la tête de l'eau grâce à leur premier jeu de puissance décent de la soirée.

à 33"55, Rindal va bénéficier d'un retard défensif pour fixer Quemener à 45 degrés et lancer très vivement dans la lucarne du gardien français. (3-1)


Tirs: 9/10 Norvège

Engagements: 16/9 France

 

Photo hockey Equipes de France - Equipes de France - EDF: Du coeur et un certain talent.
Photographe Laurent Lardière
Guttig met la Norvège à genou
La Norvège retrouve en partie le nord


La troisième période sera marquée par une pluie de pénalités pas toujours très compréhensibles vues du banc de presse .

On verra également pas mal de provocations, accrochages, et attitudes peu sportives des Norvégiens en quête de rachat, simagrées qui auraient pu conduire à davantage de sanctions.

Des erreurs de part et d'autre conduisent à un lancer de Desrosiers, servi ailier opposé et qui allait bénéficier d'un changement de ligne bien lent des visiteurs. Les spectateurs ont droit  également à plusieurs dégagements interdits français qui retardent l'entrée de troupes fraiches.

Deux pénalités norvégiennes à 44"30 et 44"54 donnent la possibilité aux joueurs d'Henderson de repousser l'adversaire à trois longueurs et ainsi de tuer probablement la rencontre, mais la Norvège, pourtant au bord de la rupture avec un gardien qui ne rassure pas, tient pourtant le coup.

Comme souvent, et après avoir passé l'orage, les visiteurs vont revenir par Olsen qui reprend un renvoi de Quemener à 51"30.

Suivent alors dix minutes emplies de pénalités diverses, et qui conduiront les deux équipes à évoluer le plus souvent à 4 contre 4.

Les deux défenses font alors plusieurs boulettes significatives qui poussent les deux gardiens à s'employer, tandis que les Français semblent tout de même un peu plus frais que leurs adversaires de plus en plus grognons et adeptes de l'obstruction.

Les minutes passent et la France conserve son avantage d'un but. On pense même l'affaire réglée quand Olsen prend 2+10 minutes à 57"36 ce qui donne un énième 4-4, mais Manavian se voit sanctionné d'un cinglage logique à 58"13, conduisant les joueurs de coach Johansen à demander un temps mort.

Sortant leur gardien, la Norvège va bénéficier à nouveau d'un 5-3, et Roymark va déjouer Quemener qui avait anticipé son lancer au second poteau, pour une égalisation qui prolonge le spectacle à 58"55. (3-3)

Avec une faute pas vraiment évidente de Treille à 59"36, la Norvège va aborder la prolongation de cinq minutes en jeu de puissance.

Tirs 19/7 France

Engagements 14/10 France

 
Et Treille et mat !

La prolongation reprend avec un jeu de puissance norvégien qui manque la cible malgré la sortie du gardien. Une tactique pouvant s'expliquer par la volonté d'en finir avant les tirs de pénalités du fait d'un gardien à la prestation douteuse. Une tactique dangereuse car un Français manquera le dégagement but d'assez peu.  Sanctionné d'une obstruction une minute plus tard, Forsberg s'énerve et prend dix minutes, pestant ensuite vers l'arbitre avant de sortir.

On sent alors les Français plus en jambes pousser et utiliser une bonne vieille tactique qui marche bien quand on a un gardien pas forcément dans le coup en face, le bon vieux joueur pivot qui va ennuyer et reprendre dedans après le rebond.

Dans le rôle du pivot, Treille s'y colle à merveille, et va inscrire le dernier acte de la pièce à 63"14. Après un lancer d'Hecquefeuille, repoussé en cloche par Grotnes devant lui, le palet est repris par ce bon Yorick dès qu'il touche le sol, pour fusiller entre les jambes son adversaire direct et en terminer avec la victoire française. (4-3)

 

Photo hockey Equipes de France - Equipes de France - EDF: Du coeur et un certain talent.
Photographe Laurent Lardière
Capt'ain Meunier passe à l'attaque
Cocorico serioso

Disons-le clairement, nous n'avons pas aimé cette équipe de Norvège, non pas qu'elle joue dangereusement ou brutalement, non pas qu'elle soit dépourvue de talent, mais bien parce qu'elle a multiplié ce soir les accrochages, protestations gestuelles et verbales, avec des joueurs et un encadrement pénibles. Pénibles sur la glace mais également en dehors, avec des exigences multiples à l'endroit de la table de marque et de l'organisation, tout en laissant leur vestiaire dans un état inadmissible avant de partir. 

Ces considérations exprimées, on doit reconnaître aux Norvégiens qu'ils présentaient ce soir une équipe amputée de nombreux éléments, et qu'ils sont tout de même la 9ème nation mondiale.  Un gardien douteux, une défensive robuste et sérieuse avec en particulier Rindal et Bonsaksen, et une attaque sans grand relief malgré de très bons joueurs tels que Roymark, Olsen et autres Holtet, et vous avez au final une impression fort mitigée, qui tient sans doute en grande partie au fait que cette équipe a trouvé ce soir plus forte qu'elle.


Ne boudons pas notre plaisir d'avoir vu ce soir une belle équipe de France, et en particulier toute une série de nouveaux joueurs sur lesquels il va falloir compter dans l'avenir.  Les tricolores avaient ce soir envie de gagner et de bien faire, et ont su rivaliser tant physiquement que techniquement. Qui était 9ème mondial et qui quatorzième? On aurait envie d'inverser car l'impression laissée par les joueurs d'Henderson est vraiment favorable.

Dans la cage, Quemener a proposé un bon match et aura évité tout but casquette, avec sans doute un bémol sur le dernier encaissé (placement). Manquant encore d'expérience à ce niveau, il aura fait plaisir à son public grenoblois.

Concernant la défense, point faible traditionnel des français, le bilan est un peu plus mitigé. On trouve en effet dans cette équipe des niveaux assez divers qui vont de l'excellent (Morant qui devrait faire les beaux jours de Berne, excusez du peu), du très bon (Hecquefeuille malgré une ou deux erreurs ce soir, possède les qualités pour s'imposer à Genève), mais également du plus moyen avec Bachet, Roussel et Besch. Citons, pour être complet, l'imprévisible Manavian, avec un physique et un slap sans égal dans le groupe mais une propension certaine aux bévues à l'image de sa pénalité lors de la dernière période. Clairement il manque quelques arrières aux tricolores pour pouvoir passer un cap dans le domaine défensif et accrocher une des dix premières places mondiales.

Offensivement, cette rencontre a montré par contre de nets progrès et surtout l'arrivée de plusieurs joueurs qui pourraient aller loin, et même très loin. Au-delà des confirmations habituelles de Meunier, Bellemare, Treille et autres Fleury, on a bien désormais dans le paysage quelques sérieux cadors en devenir.

Avec ses deux buts, Guttig montre à tous qu'il n'y a pas qu'à Dijon qu'on dit du bien de lui. Joueur au placement impressionnant et très rapide, il est sans doute ce qui se fait de mieux actuellement comme manieur de palet et dribble en petit périmètre. Il est clair, vu sa saison à Dijon, qu'il risque de rejoindre la légion étrangère assez rapidement. Quelles sont ses limites? Sans doute au-delà de ce que l'on peut en penser.

Mais qui connaissait Bertrand avant cette rencontre? Pas grand monde, mais cela risque de ne pas durer. Vous en connaissez vous des joueurs français qui à 20 ans en sont à 8 points en 19 rencontres en élite finlandaise? Vous pourrez citer Da Costa très jeune également mais derrière ? Sur ce qu'il a montré ce soir par intermitence en étant sans doute pas forcément bien utilisé, Bertrand pourrait devenir l'un des très gros clients de la future équipe de France.

Notons que ce soir, des joueurs un peu moins en vue comme Avenel,  ou Arrossamena ont effectué un match sérieux, et que l'on ne saurait critiquer  globalement les prestations des tricolores qui ont tous montré de l'envie et un certain talent.

On ne peut donc qu'être content d'avoir vu une équipe de France se comporter de la sorte, et même si bien naturellement tout n'est pas parfait, pourquoi bouder son plaisir et ne pas souligner que le groupe paraît aller dans la bonne direction. Avec certains ajouts majeurs comme Huet et Stéphane Da Costa, la France semble plus capable que jamais de s'exprimer lors des prochains mondiaux, et donne en tout cas envie à ses supporters de l'encourager comme elle le mérite.

 
 
 
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Réactions sur l'article
 
a écritle 14/11/2011 à 17:43  
Oui bien sûr, j'oubliais l'excellent Fred Ufarté, qui est aussi photographe pour les Ours de Villard-de-Lans, il me semble.... j'en suis même sûr !
bibifricotin a écritle 14/11/2011 à 16:19  
En effet ne pas oublier Fred Uffarte quia foruni de biens belle sphotos egalement ;o)
Quant à JC.Salomé et L.Lardière , on les garde à Grenoble c'est sur et ils sont nés le même jour !! c'est pas des jumeaux ? ;o)
jeanluc a écritle 14/11/2011 à 15:27  
@ Steph le Dijonnais

J'étais en face de votre groupe à Charlemagne, dans l'autre tribune. Je vous ai pris en photo, si tu les veux tu me donnes une adresse mail en mp sur le forum des Brûleurs.
a écritle 14/11/2011 à 10:34  
@ Grésivaudan
Ne pas oublier l'excellent Frédéric Ufarté pour les photos de ce match ! Bravo à lui !
a écritle 14/11/2011 à 10:15  
Assez d'accord avec le titre et la conclusion de cet article concernant notre EDF !
Compte-rendu qui retranscrit bien le déroulé du match et, aussi, bravo aux 2 photographes-stars que sont L. Lardière et JC Salomé ! On ne les échangerait pour rien au monde !
Une bien belle soirée !
Steph le Dijonnais a écritle 13/11/2011 à 22:08  
De retour de ce périple tricolore avec une certaine satisfaction de mon équipe et surtout de notre Dijonnais Anthony Guttig qui m'a plus que jamais rendu fier d'être Dijonnais :) Je garde de ces deux soirées Lyonnaise et Grenobloise un très bon moment avec des échanges avec les supporters grenoblois, lyonnais, Amienois,Rouennais... C'est la beauté de l'équipe de France : un grand rendez vous de hockey ou nous amis adversaires des tribunes deviennent nos allier pour un même but : soutenir les Bleus !

Petite précision : l'arbitrage était bien meilleur a Lyon qu'a Grenoble. La présence de Farbre y est elle pour quelque chose...

Après cette trève place a la Ligue et à la Magnus : Allez les Ducs... de Dijon bien sur !!!
bibifricotin a écritle 13/11/2011 à 21:48  
résumé assez clair et objectif !
Juste un bémol sur l'arbitrage de MR favre.
Il n'a pas le niveau internationnal , toujours mal placé, mauvaises décisions qui auraient pu mettre le feu aux poudres !
bravo également aux photographes !
jeanluc a écritle 13/11/2011 à 20:00  
@ _33_

C'était ton 1er match de hockey pour dire un truc pareil !? L'ambiance était excellente, ainsi que les animations, avec entre autres le match des petits de 7/8 ans qui sont reçu les ovations du public pour leurs 2 buts, et leurs "charges" sans adversaires quand ils tombaient tout seul faisant rire le public de bon cœur. J'étais la veille à Charlemagne, et là je peux te dire que c'était sage comme ambiance, rien à voir avec Pôle Sud samedi. Et la patinoire était celle des supporters de l'EdF pas de Grenoble, j'ai croisé des Dijonnais, des Briançonais, des Gapençais, et il y avait bien sûr des Villardiens, et sûrement plein d'autres. Avec une mention spéciale pour les Dijonnais, d'ailleurs souligné au micro. Donc l'esprit anti Grenoble mais là, c'est vraiment nul, va voir du foot.

Bonne soirée, bon match, et bon public.
pantang a écritle 13/11/2011 à 13:44  
Je partage pour l'ambiance, desolé 33 mais c'est franchement le contraire et j'y étais également.
Pour l'assistance, c'est bien Meunier qui remonte et qui sert Bertrand, enfin sur ce que l'on a vu, y'a t"il eu un relai court je en sais plus.
On a effectivement plusieurs joueurs en particulier en défense dont on se demande ce qu'ils font encore en sélection...impression de voir une équipe une renforcée par quelques petits gars de la réserve...
Arbitrage trop tatillon en troisième période avec un Fabvre dont j'ai du mal à comprendre les décisions, ceci dit sans aucune agressivité ...
snake a écritle 13/11/2011 à 13:40  
Je pense que suivre la rencontre à la télé est une chose, être dans la patinoire une autre. C'est totalement faux de dire que l'ambiance était nulle, au contraire, beaucoup d'encouragements, applaudissements et ambiance de gala avec hola et reprises de chants. reste les accompagnements musicaux...la personne qui s'en occupe ne connait absolument rien aux ambiances musicales du hockey, mais cela tous ceux qui vont voir grenoble le savent bien.
_33_ a écritle 13/11/2011 à 13:34  
bon match ou on entendait les mouches voler. aucune ambiance en tribune, et pourtant, il parait que le kop de l'équipe de France était présent ??? en figuration alors... A part les dijonnais présents, on a pas entendu les supporters grenoblois.
Bookker a écritle 13/11/2011 à 11:52  
Juste un petit rectificatif, je ne sais pas où vous avez trouvé que c'était Meunier qui faisait la 1e assist sur le 2nd but français, car sur les images c'est c'est clairement bien Bellemare qui fait l'accélération pour servir Guttig..

Sinon merci pour le résumé du match : )

PS : Peut-on m'expliquer ce que fait toujours Roussel en équipe de France ? Il a été encore tellement mauvais... comme à chaque match avec les Bleus...
QuentinDeMontargis a écritle 13/11/2011 à 11:46  
A l'inverse de ce qui est écrit, c'est monsieur Barbez qui était l'un des deux juges de lignes.

Sportivement
QdM
thoumay a écritle 13/11/2011 à 10:54  
et en plus de ceux cités par castor il faut rajouter d'autres expatriés comme maxime lacroix,antoine roussel,luc tardif jr en attaque plus benjamin dieude-fauvel, nicolas antonoff et xavier ouellet en défense,sans oublier buysse devant les buts et je pense qu'avec tous ce beau monde l'équipe de france a un bel avenir
Tatie38 a écritle 13/11/2011 à 10:45  
soirée géniale ! les bleus ont su profité de leur momentum pour prendre de l'avance et on s'est régalé et le fan club d'anthony Guttig qui a bien contribué à l'ambiance n'est pas venu de Dijon pour rien
Nath a écritle 13/11/2011 à 10:43  
Bonjour,
sans vouloir faire offense aux auteurs de l'article, je ne suis pas d'accord quand il est stipulé que Manavian possède "un physique et un slap sans égal dans le groupe". Morant lui est par exemple supérieur sur ces capacités...
Castor des glaces a écritle 13/11/2011 à 10:23  
Merci pour le compte-rendu !

Aux absents Huet et S.DaCosta, on peut rajouter Amar, Auvitu et S. Treille, et ça fera une équipe fort intéressante !
a écritle 13/11/2011 à 09:20  
Rien d'autre à ajouter ! Beau match de l'EDF, compte-rendu "au poil" et superbes photos, comme d'habitude !
a écritle 13/11/2011 à 09:01  
Superbes photos Laurent un grand bravo
pantang a écritle 13/11/2011 à 02:55  
Je retrouve bien la rencontre dans l'article dont on sent qu'il a été écrit en direct et pas devant la TV...
c'est vrai que l'ensemble de l'équipe a fait un bon match face à une norvège que je n'ai pas aimée.
Bravo aux photos toujours impeccables, j'attend vos galleries avec grand intérêt.
 
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