L'Admiral aligne une 4e victoire de suite en dominant NSK
L'Admiral reste sur trois victoires consécutives et espère poursuivre avec une deuxième rencontres en trois jours contre le Sibir. Les visiteurs battus au premier match espèrent rebondir, ils démarrent vite et ouvrent la marque dès la 3ème minute. Jokipakka lance de la bleue, Shore devant la cage dévie au fond (0-1).
Joie de courte durée pour les Sibériens qui sont très vite rejoints au score dans la minute qui suit. Verba récupère une mauvaise relance et tire, le puck est bloqué par le portier mais glisse juste derrière lui, Verba se précipite sur la rondelle qui traîne et le jette au fond (1-1).
Le Sibir conserve l'initiative dans cette partie et fait le jeu, Vladivostok suit tant bien que mal le rythme imposé et finit par commetre une faute au quart d'heure de jeu. Pyanov dans le cercle droit dévie à l'opposé où Sharov reprend victorieusement pour remettre Novossibirsk devant (1-2).
Mais le jeu des visiteurs est sapé par une faute juste après. Le powerplay des marins s'installe et fait tourner la rondelle, Kaletnik slape de la bleue, Säteri repousse dans l'angle mais tombe sur la glace, Sayustov à l'embuscade, propule au fond pour égaliser (2-2).
NSK est très dominateur au tiers médiant mais Serebryakov multiplie les intervention pour tenir le score de parité. C'est donc sur le même tableau d'affichage que les joueurs se séparent une deuxième fois. La partie devient rugueuse au dernier vingt, les deux équipes sont plusieurs fois sanctionnées. Le Sibir évolue même un moment à quatre contre trois mais ne peut en profiter. A l'inverse, l'Admiral fait tourner son jeu de puissance en fin de partie. Kestner lance, Säteri repousse de son mieux, Sayustov dans le slot récupère le rebond et glisse et pour Gareyev qui donne l'avantage à Vladivostok (3-2).
Le Sibir sonné tente bien de revenir dans les dernières minutes mais sans résultat. Vladivostok remporte le back-to-back et aligne une quatrième victoire consécutive qui lui permet de réduire encore l'écart et d'espérer toujours au miracle. Ah si l'Admiral avait joué comme ça toute la saison...