Un bon Noël pour les cheminots du Lokomotiv contre Sotchi
Seul match de ce jour de Noël, le Lokomotiv en forme qui peut prendre le large sur son premier poursuivant, reçoit Sotchi qui alterne le chaud et le froid.
le premier tiers est plutôt équilibré mais Rudenkov parvient à partir en contre, il dépose une offrande au deuxième poteau où Valentsov n'a plus qu'à pousser au fond pour son premier but de sa carrière KHL (0-1).
Iaroslavl est plus dangereux en fin de tiers mais le score n'évolue pas. Les efforts locaux vont payer au début de la deuxième période. Kayumov contourne la cage et vient glisser au fond pour égaliser (1-1).
Le Leopard accélère et repart vite de l'avant, Shmelyov parvient à décaler au deuxième poteau pour Petkov qui remet son équipe devant (1-2).
Sotchi continue de jouer vite et bien et récupère un powerplay, il en profite pour faire le siège de la cage adverse. Petkov lance, mais le palet est dévié par le patin d'un défenseur, il glisse vers l'angle ouvert où Volodin le propulse au fond (1-3).
Le Loko sonné, change de portier, tandis que Konovalov rejoint le banc, c'est Pasquale qui le remplace sur la glace. Le jeu repart vite dans l'autre sens, Tkachyov dépose une offrande au second poteau pour Petersson qui trouve la faille contre son ancienne équipe (2-3).
Dans la foulée, Kayumov et Kraskovsky partent en break à deux, le premier sert parfaitement le deuxième qui égalise d'un coup de canon (3-3).
Au dernier tiers, le Lokomotiv lâche les chevaux et raffle la mise face à des visiteurs lâchés. Un tir imparable de Barantsev dans la lucarne permet aux locaux de passe devant pour la première fois de la rencontre (4-3).
La pression continue et Ilyenko derrière la cage glisse la rondelle sur le but, elle fait un drôle de rebond entre les pads du gardien et termine mollement derrière la ligne (5-3).
Un drôle de but qui enfonce le Leopard, ce dernier se fait écorcher sur une ultime réalisation, encore gag. Alekseyev derrière le but centre, le puck heurte la jambière de Rundblad qui bat son propre gardien (6-3).
La messe est dite, Sotchi KO, ne voit plus le jour tout le reste de la partie jusqu'à la sirène finale.