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Hockey sur glace - Autour du hockey
Le Hockey, par Martin Millerioux
 
Le hockey : Société, Motricité, Latéralité, Prophylaxie, Travail hors glace optimal ? Le terreau de la réflexion est fertile en ce moment, les idées abondent comme du chiendent, mais il faudra séparer le bon grain de l’ivraie. L’anticyclone du questionnement s’est installé, ne laissant pas un nuage ni une goutte s’immiscer ; mais soyons prudents et gardons le parapluie dans une main tout de même, l’orage gronde... Si nous soulevons des questions, c’est pour obtenir des réponses, non ? Pour essayer de les mettre en application ? Tenter, échouer, se tromper, ajuster, essayer à nouveau et peut-être réussir...
 
, Hockey Hebdo Martin Millérioux le 08/05/2020 à 17:00

L'article que nous vous présentons ci-dessous est un essai rédigé par Martin Millerioux, ancien joueur de Grenoble, Villard-de-Lans, Morzine-Avoriaz, Lyon et Annecy et ex-entraineur d'Annecy.
Cet essai de Martin Millérioux faisant 20 pages, nous vous le proposons en plusieurs publications.
Bien que certaines parties soient destinées aux joueurs ou aux parents de joueurs, il est accessible à tous et est illustré de vidéos et de liens.


LE HOCKEY - Société, Motricité, Latéralité, Prophylaxie, Travail hors glace optimal ?
par Martin Millerioux

« Ce n’est pas le doute, c’est la certitude qui rend fou »  Nietzsche
« Il n’y a pas de fin à l’éducation, toute notre vie est un processus d’apprentissage » Krishnamurti
« La véritable éducation, c’est d’apprendre comment penser et non pas quoi penser » Krishnamurti



Préambule

Le terreau de la réflexion est fertile en ce moment, les idées abondent comme du chiendent, mais il faudra séparer le bon grain de l’ivraie.
L’anticyclone du questionnement s’est installé, ne laissant pas un nuage ni une goutte s’immiscer ; mais soyons prudents et gardons le parapluie dans une main tout de même, l’orage gronde...
Si nous soulevons des questions, c’est pour obtenir des réponses, non? Pour essayer de les mettre en application ? Tenter, échouer, se tromper, ajuster, essayer à nouveau et peut-être réussir...

Dans quel espace temporel vit la société ? On oublie le passé, on se projette dans le futur, mais vit-on au présent? Ne veut-on pas bâtir des châteaux à la hâte sur des fondations friables? Le temps de cerveau disponible est phagocyté par les divertissements. Le zapping et la facilité déconcertante de tout avoir, de tout posséder nous permettent-ils d’apprécier encore ce qu’on a et ce qu’on est?

Le sport, composante inhérente, n’est-il pas le catalyseur des dérives sociétales mais aussi exhausteur des plus belles valeurs de la vie ?
Grand écart permanent, mais dieu sait (oxymore) que les hockeyeurs, pour la plupart, ne sont guère souples ( j’entends dans leur corps, quoique l’esprit n’est-il pas raide lui aussi? ) Le hockey au même titre que n’importe quelle pratique sportive, peut-il être appréhender en omettant une approche holistique ?
Pouvons-nous refondre le monde dans sa globalité? (Demandons à Bakounine ou Proudhon...) mais n’est-il pas essentiel de s’attacher à le comprendre pour tâcher de trouver des solutions durables ? Agir en âme et conscience, tout en étant ouvert à la différence ?

Faisons notre part du Colibri Pierre Rahbi
Tentons de garder un état d’esprit critique , et cultivons une certaine curiosité « on ne peut pas inviter le vent, mais on doit laisser la fenêtre ouverte » Krishnamurti

« Laissez tomber la certitude. L’inverse n’est pas l’incertitude. C’est l’ouverture, la curiosité et la volonté d’embrasser le paradoxe, plutôt que de choisir les bons côtés. Le défi ultime est de nous accepter exactement tels que nous sommes, mais sans jamais cesser d’essayer d’apprendre et de grandir. » Tony Schwartz

Introduction (hockey sur glace et angle d’attaque)

La tâche la plus ardue fût de définir une approche au porteur pertinente.
De nombreuses études ont été publiées et elles constituent pour la plupart un socle solide. Je vous invite à relire Le guide fédéral de l'école de hockey de la FFHG ou à vous connecter sur l'intranet des entraineurs de la FFHG. Il est question dans ces deux références d’outils pédagogiques et de démonstrations de gestes techniques, mais je voulais aborder une autre facette de ce sport.

De ce fait, il me fallait un point de départ pour se questionner. « Celui qui ne sait pas d’où il vient, ne peut savoir où il va » Otton von Bismarck.

Tout naturellement, et sans grande originalité je le conçois, je me suis servi de mon expérience personnelle pour mettre le pied à l’étrier.
J’ai commencé le hockey sur glace à 8 ans à Grenoble pour terminer à 34 ans à Annecy. Ce sport fut donc mon plus fidèle compagnon de vie. En tant que joueur, j’ai goûté aux joies des victoires (champion de France Junior, Magnus, D1, D2, champion du monde U18) et des défaites. Je suis passé derrière le banc plusieurs années (8 ans entre le hockey mineur à Lyon et Annecy ainsi que les seniors à Annecy).
J’ai passé ma carrière professionnelle dans le brouillard, le « mitote » (Les 4 accords toltèques Don Miguel Ruiz).
J’éprouve le besoin de transmettre. Loin de moi l’idée de m’inscrire dans un monologue, me positionnant en tout sachant, et prônant la voie à suivre. « La vérité est un pays sans chemin » Krishnamurti
Je souhaiterais entamer une discussion, mais cela demande une écoute totale de la part de l’interlocuteur, personnellement plus jeune je n’avais pas cette oreille...

A 17 ans , on m’a diagnostiqué une hemisacralisation (L5S1 soudées côté droit) et les médecins consultés m’ont fait comprendre que je devais m’astreindre à une sédentarité de tous les instants... (Sport Santé de l’époque) J’ai fait fi des remarques, guidé par mon insouciance, mais je n’ai jamais cherché à comprendre le fond du problème. Je l’avais tassé au plus profond de moi, préférant jouïr des plaisirs de la vie. De ce fait, j’ai composé avec ça durant toute ma carrière, en étant tributaire des crises aiguës et des périodes d’accalmie. J’en suis grandement responsable et ne regrette rien. Je n’étais pas assez clairvoyant.

Fraîchement retraité et ayant démissionné, j’ai enfin pris du recul et pu entamer une introspection qui m’a conduit à m’interroger sur le bien fondé du hockey sur glace dans l’hexagone et plus généralement du mouvement sportif français.

En parallèle du hockey, j’ai eu le plaisir d’exercer le métier de professeur d’EPS (3 ans sur Lyon) et d’ETAPS (Éducateur Territorial des Activités Physiques et Sportives (Lyon et Annecy) ce qui m’a permis d’avoir une vision transversale du sport en France.

J’ai vécu un autre déclic qui fût le séminaire organisé par la Ligue AURA PACA en juin 2019 à Pralognan. Les entraîneurs, à la quasi unanimité, ont admis que le développement individuel d’un joueur de hockey ne pouvait s’améliorer qu’en dehors de la glace du fait,en partie, des contraintes structurelles inhérentes à notre pratique. Il n’est pas question d’opposer ici l’entraînement physique et l’entraînement sur glace. L’idée est de
fonctionner en symbiose et de s’enrichir mutuellement en faisant un constat et en tentant d’apporter des éléments cohérents in fine. N’aurions nous pas intérêt à mieux préparer physiquement et mentalement nos jeunes hockeyeurs afin qu’ils deviennent des athlètes avant d’être des hockeyeurs ?

Enfin, j’ai eu le plaisir de rencontrer Mariano Zanotti, créateur et fondateur du CPA. Son approche biomécanique et intégrale de l’entraînement et sa grinta de puma ont fait écho en moi, nous échangeons beaucoup et je l’en remercie.

Pour toutes ces raisons et bien d’autres encore, j’ai décidé de soulever des interrogations sur l’impact de la latéralité et de la motricité au hockey sur glace. J’ai conscience que la prophylaxie n’est qu’une constituante de la « réussite » d’un jeune hockeyeur. Mais comprendre la motricité globale et le développement moteur d’un enfant paraît être déterminant pour la performance (notion d’excellence, mouvement optimal, prévention de blessures) Nous pourrons étendre la réflexion sur l’incidence d’un développement global chez tous les enfants. Nous évoquerons ultérieurement la pertinence ou non d’une hyperspecialisation précoce? Peut-on performer en étant blessé ?

Le postulat de départ pour beaucoup de clubs et d’associations de hockey paraît être le suivant : il faut «produire » des enfants compétitifs, performants, nés pour gagner...
Gagner quoi? Je ne sais pas...
On pourra débattre de l’intérêt de cette démarche prochainement. Mais basons notre étude sur ce paradigme et envisageons d’y répondre positivement. Je rajouterai également qu’un des objectifs fixés par les cadres techniques de la fédération est de placer la France à la dixième place dans la hiérarchie mondiale en Sénior. La question n’est pas de savoir si cela a du sens ou non ? Mais plutôt que mettons nous dans la
balance pour tenter d’y arriver?

Pour cette étude et les pistes à envisager, je me suis grandement appuyé sur des études scientifiques existantes, notamment celle-ci .

J’en profite pour remercier chaleureusement Gail Leclerc, rapporteuse de cette étude. J’ai pu constater que nous manquons de données sur l’impact de la prophylaxie et de la motricité induite par la posture au hockey sur glace chez de jeunes joueurs (4 à 12 ans).

Asseyez vous confortablement dans votre siège, il y a beaucoup de liens pour des vidéos insérées tout au long de la discussion.
Le plan complet et les prochaines publications sont à la fin de cette première partie (bas de page).

Plan
I) Sport, quel impact sur la posture?
A) Blessures chroniques chez les hockeyeurs professionnels
B) Blessures chroniques chez les jeunes hockeyeurs
1) Le bas du dos
2) Prophylaxie lombaire et sédentarité
3) Problème aux épaules


I) Sport: quel impact sur la posture?

La pratique d'une activité physique ou d'un sport conduit le corps à se développer en fonction de la posture et des gestes qui lui sont demandés. «En effet, les muscles sollicités de façon plus importante, se développent davantage et provoquent des changements posturaux reliés à ces spécificités musculaires » (Watson, 1995)
Le hockey, demandant un effort unilatéral fréquent, provoquent des modifications posturales et musculaires qui peuvent être aussi à l'origine de nombreuses blessures. De plus, chez les jeunes athlètes, le niveau de spécialisation hâtif des gestes sportifs amène un développement spécifique du corps humain et ce, en période de croissance. Ainsi, la posture de ces jeunes athlètes s'en trouve modifiée dès un très jeune âge (Wojtys,
Ashton-Miller, Huston, Moga, 2000)

Cette spécialisation hâtive du geste sportif chez des athlètes encore en phase de croissance et de développement physique augmente le risque de développer des hyperlordoses ou des hypercyphoses causées par des débalancements musculaires propres à la pratique d'un sport (Wojtys et al., 2000).
Il a été démontré que les déficits posturaux jouent un grand rôle dans l'apparition de  blessures chez les athlètes de haut niveau surtout lorsqu'il s'agit d'un sport de contact ou lorsque le sport demande une certaine latéralité.
La posture semble être le point de départ pour de nombreux constats de blessures sportives. Plusieurs auteurs ont démontré que la posture est un indicateur important des blessures sportives (Shambaugh et al, 1991., Powers et al. 1995, Watson, 1995 et 2001 et Cowan, 1996). Il est suggéré qu'en corrigeant les anomalies posturales et les déficits musculaires des athlètes, il sera peut-être possible de prévenir l'apparition de certaines blessures spécifiques à un sport donné (Watson, 2001)
Lorsque ce travail n'implique pas de façon égale les muscles antérieurs et postérieurs ou le côté droit et le côté gauche du corps, ceci entraîne des débalancements musculaires. Dans le cas du hockey, le geste sportif répété engendre une spécialisation musculaire latérale due à la nature du geste même. Ce phénomène a pour effet d'affecter la posture des joueurs. Une meilleure répartition de la musculature permettrait d'améliorer la posture de ces athlètes.
De plus, les résultats suggèrent que les interventions améliorant la symétrie du corps, la posture et la mécanique des gestes sportifs contribueraient à réduire l'incidence des blessures (Watson, 1995 et 2001, Siqueira, 2002)

A) Blessures chroniques chez les hockeyeurs pro

L'étude de Posch (1989) sur les blessures au hockey a révélé que 39% des joueurs participants présentaient des douleurs chroniques à l'épaule, au dos et aux genoux. Les blessures chroniques aux épaules et aux genoux peuvent entraîner des variations posturales, et ce, dans tous les plans de mouvements. Selon les auteurs, lorsque la blessure est chronique, il est possible que les patrons de mouvement des articulations
impliquées se modifient de façon permanente et altère le positionnement de ces articulations par rapport aux autres. Aussi, les adaptations musculaires des muscles adjacents au site de la blessure se feront en fonction de la nouvelle mécanique articulaire (Baratta, 1988)
Parmi les blessures musculaires et articulaires les plus importantes et les plus répandues, on compte les lombalgies, les affections des muscles abdominaux et les dislocations de l'épaule (Cunningham, 1996, Posch,1989, Tator,1997, Emery,1999).

Il a également été démontré que les joueurs de hockey professionnels ont une diminution significative de l'extensibilité de la hanche comparativement à un groupe de personnes du même âge (Tyler et al., 1996)


D'un autre point de vue, dans le plan sagittal, les hockeyeurs professionnels présentent une diminution significative de l'amplitude de mouvement au niveau de la hanche (Tyler, Zook, Brittis, Gleim, 1996). Cette diminution significative d'extensibilité est associée avec un raccourcissement de l'iliopsoas ce qui a pour effet d'entraîner une augmentation de la lordose (Tyler et al., 1996). Plusieurs joueurs ont au moins un déficit musculaire et le tiers d'entre eux en comptent plusieurs (Agre et al., 1988). Les déficits musculaires les plus
souvent rencontrés se retrouvent au niveau de la ceinture scapulaire, des quadriceps et des ischio-jambiers. On note également un manque d'extensibilité au niveau de l'abduction de la hanche et des ischio-jambiers (Agre et al., 1988). Il a été démontré que les blessures au dos sont associées avec une mauvaise symétrie des épaules ou du haut du dos et d'une abduction de la scapula (Watson, 1995)


On remarque avec les années que certaines blessures sont de plus en plus présentes chez les jeunes joueurs de hockey.


B) Blessures chroniques chez les jeunes hockeyeurs

La position de base du joueur de hockey doit être maintenue pendant la presque totalité du jeu. Chez un Left, la position de base implique une antériorité de la tête, une flexion antérieure et une rotation du tronc du côté gauche, le bras droit est en flexion (presque 90°) alors que le bras gauche est en extension, la main droite agrippe le manche en pronation alors que la gauche est en supination. En ce qui concerne les épaules, l'épaule droite est antérieure comparativement à l'épaule gauche (schéma inverse pour un Right)
La hanche et les genoux sont en flexion. Sachant que les muscles se développent selon  le travail qui leur est demandé, il semble légitime de croire qu'un tel travail répété chez des jeunes en croissance puisse créer des déséquilibres musculaires et des modifications posturales.
Les douleurs sont déjà présentes chez les adolescents pratiquant ce sport (Kujala, Taimela, Oksanen, Sahninen, 1997). Il a été démontré que les blessures musculaires et les maux de dos chez les jeunes athlètes sont reliés spécifiquement à une spécialisation musculaire et ne doivent pas être associés à des causes mécaniques tels les contacts avec un objet ou une autre personne (D'Hemecourt et al., 2000).
Il a été proposé que la stabilisation de la colonne vertébrale doit débuter par des exercices de renforcement et d'étirements musculaires afin de rétablir l'équilibre de la musculature lumbo-pelvienne (d'Hemecourt, 2000, Kujala" 1997).
Les douleurs au dos chez les jeunes athlètes proviennent généralement des éléments postérieurs de la colonne vertébrale, les muscles extenseurs du dos et de la hanche présentent une diminution de l'amplitude de mouvement (Kujala 1997).


1) Le bas du dos

L'hyperlordose lombaire chez le jeune hockeyeur est causée principalement par le surentraînement des muscles fléchisseurs de la hanche, c'est-à-dire, le droit antérieur de la cuisse et le psoas iliaque. Pour ce qui est du droit antérieur de la cuisse, il entraîne une flexion antérieure du bassin autour de l'articulation coxo-fémorale.
A l’inverse, la diminution de la lordose est attribuée à l'action des ischio-jambiers, et des abdominaux qui provoquent une rétroversion et une extension du bassin.
Les psoas iliaques ont une grande influence sur la région lombaire. Lorsqu'ils sont trop forts, ils augmentent la lordose et provoquent une antéversion de la hanche. Les muscles abdominaux jouent aussi un rôle important dans la lordose, qui a la longue, provoque un relâchement des abdominaux. Les muscles abdominaux doivent compenser l'antéversion du bassin provoquée par le psoas iliaque.
Il faut donc trouver un équilibre entre ces chaînes pour limiter l’hyperlordose.


2) Prophylaxie lombaire et sédentarité

D'un autre point de vue, lorsque le travail musculaire du jeune sportif demande un grand nombre de rétroversions du bassin ou une très grande sollicitation de la chaîne musculaire postérieure, il est également possible de remarquer des courbes lombaires très faibles (Tanchev, Dzherov, Parushev, Dikov, Todorov, 2000).
Par contre, il a également été découvert que l'inactivité physique en période de croissance est associée avec des courbes thoracique et lombaire plus faibles que la moyenne.


3) Problème aux épaules

Pour ce qui est des hypercyphoses au niveau thoracique, les muscles responsables sont majoritairement : les intercostaux moyens, le petit et le grand pectoral, le grand droit de l'abdomen, les scalènes et les sterno-cléido-mastoïdiens. Quand les rotateurs internes de l'épaule (le deltoïde antérieur, le grand pectoral, le sous-scapulaire, le grand dorsal et le grand rond.) sont très développés, ils provoquent une antériorité des épaules, ce qui a pour effet de modifier la mécanique de la cage thoracique et d'antérioriser le tronc.
Il a été démontré que les jeunes athlètes présentent des courbes plus importantes au niveau thoracique et lombaire comparativement aux non-sportifs du même âge (Wojtys et al., 2000)

2e partie (lien) :
Il) Le pattern moteur au hockey sur glace
A) La Motricité et sa définition
B) Porter des patins n’est pas anodin
C) Ma crosse, ma précieuse
1)Le lancer du poignet
2)Le slap
D) La latéralité et sa définition.
1) Conséquences mécaniques et posturales
2) Peu d’impact sur la force

 
III) Étude de Gail Leclerc sur la Latéralité
A) Présentation
B) Résultats sur des joueurs de 15 à 17 ans
1) membre inférieur
2) Épaule bassin tronc
3) Posture
IV) Conséquences et marche à suivre
A) Perspectives
B) Comment agir ?
C) Prophylaxie
1) La réactivité des pieds et la flexion plantaire
2) Le placement du bassin kinesthésie et proprioception
3) Détendre le psoas
4) Mobilité épaule bas du dos
5) Retour expérience personnelle Slack Line
Conclusion
Ressources et bibliographie

J’ai disséminé tout au long de l’article les références et les ressources qui m’ont conduit à sa rédaction.
A ma fille et à tous les gens que j’aime.
 
 
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