Le début de saison des Brûleurs de Loups comportait un large succès (Rouen) et une large défaite (Briançon) ainsi que deux résultats positifs face à des équipes de seconde partie de tableau (Villard de Lans et Caen). On attendait donc les joueurs de Jean-François Dufour face à une belle cylindrée à domicile pour juger du niveau du groupe.
| Photographe Jean-Christophe Salomé | | Un collectif en panne
Les deux équipes entrent dans la rencontre avec vigilance, et les premières minutes voient les défensives s'employer à mi-glace avec un certain succès.
Cependant, Grenoble va se faire prendre à froid par pratiquement la seule occasion strasbourgeoise en cinq minutes. Sur un déboulé à l'aile droite, Dufournet excentré adresse un lancer assez anodin qui va passer au ras du poteau de Quemener pour rentrer au fond. (0-1) L'attaquant alsacien est crédité du but qui aurait été dévié selon un sympathique confrère strasbourgeois placé à côté de l'auteur de l'article, version non reprise par l'arbitre et infirmée par nos photographes. Une réalisation que l'on pourra voir opportuniste, chanseuse ou surprenante, mais qui voit Quemener porter une certaine responsabilité vu le peu d'angle normalement disponible ainsi que la vitesse relative du palet.
Les deux équipes seront ensuite pénalisées, mais le le 4X4 qui en résultera ne donnera pas d'occasions franches, Grenoble semblant au fil des minutes de plus en plus en difficulté pour effectuer des sorties de zone propres face à des adversaires qui pratiquent un double échec avant avec bonheur, les Brûleurs ayant le tort de ne pas proposer beaucoup d'appels sans palet et de relais efficaces le long de la bande. Cette impuissance se poursuivra régulièrement durant la rencontre et conduira à plusieurs occasions nettes pour l'Etoile Noire en récupération, avec surtout un jeu de passe beaucoup plus convainquant que celui des Isérois.
Les esprits vont quelque peu s'échauffer après une faute de Tartari sur Hiadlovsky, le gardien alsacien proposant ce soir une prestation sérieuse qui lui vaudra d'être désigné joueur du match par la presse, avis de nos confrères que nous respectons mais qui nous semblent oublier une assez forte propention de l'intéressé à relâcher les palets et à s'énerver inutilement, sans que toutefois les Grenoblois n'en aient profité.
Une mélée éclate avec quelques coups sans gravité, Monsieur Colleoni tout à fait à son affaire ce soir choisissant de pénaliser 4 joueurs (Tartari, Baylacq, Gallagher et Bouge) à 9"03, avant qu'une nouvelle faute alsacienne bien évitable ne conduise à un jeu de puissance grenoblois qui sera mal négocié comme tous les autres de la soirée (0-7)
A nouveau complet, Strasbourg pousse et se crée plusieurs occasions, mais c'est surtout l'incapacité grenobloise à produire du jeu et le caractère systématique et prévisible de celui-ci qui questionne. Rencontrant beaucoup de difficultés pour remonter les palets, souvent forcés de dégager pour effectuer des changements de lignes, et connaissant les pires difficultés pour aligner deux passes précises à mi-glace, les Grenoblois déjouent fortement et n'aboutissent offensivement qu'à lancer au fond et tenter de suivre, schéma bien compris et qui ne pose guère de difficulté à une défense strasbourgeoise qui fait le métier.
Après plusieurs minutes d'attaque-défense, c'est Strasbourg qui va prendre le large avec un second but de Correia, le jeune Strasbourgeois reprenant victorieusement un palet repoussé par Quemener après un lancer de Young au terme d'une mélée devant le slot au sein de laquelle manquait clairement un pivot défensif. (0-2)
La fin de période est favorable à Strasbourg, comme ce palet de l'insaisissable Gallagher, bonne pioche de l'Etoile Noire qui vient retentir sur le casque de Quemener à 14"42, symbole d'une équipe iséroise sonnée et décrochée au score.
| Photographe Jean-Christophe Salomé | Le seul brassage de la rencontre | Quelques signes encourageants....
La reprise va voir les Brûleurs proposer quelques éclairs par l'entremise des joueurs rapides qui vont parvenir à se créer une poignée occasions après des accélérations face à une défensive strasbourgeoise un poil moins bien qu'en première période.
Mais si Desrosiers échoue sur la jambière de Hiadlovsky en deux contre un quelques secondes plus tard, ce sont les Alsaciens qui se créent la même situation juste derrière, et Cayer fait les Grenoblois chocolat avec un superbe service à Gallagher qui glisse le palet entre les jambières de Quemener (0-3 à 21"16).
La mine basse, les Grenoblois regagnent le banc et l'on sent que les visiteurs ont pris un ascendant psychologique certain, dans une rencontre qui n'aura jamais vraiment vu les locaux produire du jeu et mettre en danger régulièrement une défensive calme et efficace.
Les minutes suivantes voient Grenoble à la peine avec toujours des erreurs et montées de palet individualistes, ponctuées de pertes évitables et de lancers à fond de glace sans aucune efficacité.
Pire, Strasbourg va resonner à la porte et Quemener se couche efficacement, les Brûleurs paraissant au bord de la rupture pendant plusieurs minutes.
Cependant, Strasbourg qui avait fait jusqu'alors un pressing constant et très physique paraît marquer quelque peu le pas en échec avant, ce qui permet aux Isérois de remonter plus facilement le palet à l'image d'un Dusseau en quête de solutions qui va percuter le gardien adverse et bouger la cage à 27"42.
La fin de période va voir chaque équipe effectuer plusieurs lancers mais les deux gardiens répondent présents.
Pourtant, comme pour souligner que Grenoble sort la tête de l'eau, Desrosiers, l'attaquant le plus dangereux ce soir car capable de se créer seul quelques occasions nettes, va aller frapper sur Hiadlovsky qui repousse sur la palette de Raux qui réduit le score à 31"53. (1-3)
On se met alors à timidement songer à un retour possible des Grenoblois, d'autant que le jeu est plus équilibré, que Quemener sort un bel arrêt mitaine, et que Desrosiers fait une nouvelle fois la valise pour échouer de peu sur un Hiadlovsky vigilant.
Pourtant, les bonnes intentions grenobloises s'arrêtent faute d'un collectif susceptible de proposer des solutions, et le rythme retombe quelque peu avec deux brassages sans gravité, mais la carte vitesse avec des Desrosiers, Sivic et Ouimet a fonctionné à une reprise et pose clairement problème à des visiteurs qui évoquent déjà le sujet en retournant au vestiaire.
Strasbourg remet le couvert!
Tandis que Cayer fait admirer sa technique et ses passes, le jeu s'ouvre quelque peu mais Grenoble retombe dans ses travers de sorties de zone et ne semble pas en mesure de proditer des quelques largesses d'une défensive strasbourgeoise un peu attentiste car soucieuse des voltigeurs grenoblois et brieffée en conséquence. Strasbourg se crée plusieurs occasions qui échouent sur un Quemener beaucoup plus à l'aise que lors des deux premières périodes. Les minutes défilent et les raids attendus des patineurs grenoblois se font très rares avec une tentative de Desrosiers et une autre de Sivic. On comprend alors que Grenoble ne pourra pas prolonger une fin de seconde période plus réussie et donc se procurer un semblant d'espoir dans une rencontre cadenassée depuis le début par l'Etoile Noire.
Ce sont bien encore les Alsaciens qui proposent l'essentiel du jeu, et leur patience va payer avec des pénalités grenobloises. Rouleau, pris par la patrouille prend 2+2 pour l'ensemble de son oeuvre qui va du retenir à l'altercation totalement inutile, et Grenoble termine sa mauvaise soirée avec deux nouveaux buts.
A 58"11, Mallette lance à la bleue plein centre et le palet termine au fond sans avoir été dévié (1-4).
Moins d'une minute plus tard, sur un nouveau jeu de puissance consécutif à une nouvelle faute grenobloise, Steiner cinglant Hiadlovsky qui sortira de sa cage pour aller se faire justice sans y parvenir, les jeunes Strasbourgeois parachèvent le succès avec une superbe lucarne de Burgert assisté par Franck à 59"49 (1-5)
| Photographe Jean-Christophe Salomé | Yadlovsky très énervé | Quoi qu'on en pense?
Belle équipe que cette Etoile Noire qui a proposé un hockey très classique, solide et pertinent, avec une défense de qualité jamais affolée et une attaque intéressante, pouvant compter à la fois sur ses individualités comme les Cayer, Gallagher et autres Kuuluvainen, mais également sur un système de jeu reposant sur du mouvement et un important jeu sans palet.
Défensivement, l'échec avant alsacien repose sur deux joueursqui vont faire le maximum pour revenir en zone neutre après leur pressing offensif, ceci afin de proposer un bloc compact à mi-glace. intéressant mais fatiguant à conduire et supposant 4 trios offensifs que n'a pas encore l'Etoile Noire, ce qui explique quelques retards vus ce soir mais qui sont restés sans conséquence.
Offensivement, les changements d'axe et un travail sérieux en attaque-défense a conduit à des tirs mais également à une forte pression devant le gardien avec deux buts.
Strasbourg paraît au moins aussi fort que la saison dernière, et semble avoir ajouté plusieurs individualités intéressantes dans son recrutement. De quoi permettre à Daniel Bourdages, très planificateur, de pouvoir sans doute mieux anticiper son plan de match, et de réduire les corrections en direct qui sont de fait plus difficiles pour lui. Après, son système compris, il est clair que les parades existent mais elles supposent un collectif capable de les mettre en oeuvre, ce que Grenoble n'avait clairement pas ce soir. Qu'est ce qui pourrait interdire l'accès au top 4 à Strasbourg cette saison? Pas grand chose sinon des coachs capables de contrer le système de jeu strasbourgeois tout de même très exigeant en matière de dépense physique. Second bémol, un Hiadlovsky qui rend trop de palets devant lui et qui semble capable de s'énerver rapidement pourrait coûter cher lors d'une rencontre plus délicate.
Mais on ne peut conclure sans souligner la qualité strasbourgeoise, une équipe qui joue au hockey.
Grenoble devait se montrer à Pôle-Sud face à disons une équipe de haut de tableau. C'est fait et le résultat est clairement négatif. Sans juger du futur classement des Strasbourgeois, qui devrait logiquement se situer dans le top 6, sachant qu'ils restaient sur deux échecs consécutifs face à Angers et Dijon, on peut considérer qu'il existe au minimum 6-7 équipes proposant un niveau de jeu globalement comparable aux alsaciens vu leurs résultats (Rouen, Amiens, Dijon, Angers, Morzine-Avoriaz, Briançon, Gap, et même Chamonix et Neuilly...). Ou se situe Grenoble actuellement ? Vous l'aurez compris, pas forcément dans le groupe et c'est bien le plus problématique.
Face à Strasbourg, on ne peut pas parler d'une défaite survenue au terme d'une rencontre incertaine, avec des Isérois qui auraient cédé par exemple en dernière période, mais bien d'un revers qui a vu les visiteurs jamais inquiets disposer d'une réelle marge que traduit bien le score. Cette situation illustre plusieurs grosses difficultés vues ce soir.
Défensivement, on ne pourra pas créditer Quemener d'une bonne prestation avec plusieurs buts dont le premier qui lui laissent une responsabilité, mais reconnaissons que le jeune gardien n'a pas été aidé et c'est le moins que l'on puisse dire par sa défense sur plusieurs autres. Un manque d'automatismes entre les duos d'arrières, une propension chez certains à partir à l'attaque sabre au clair, et des absences devant le slot, sont autant d'éléments qui expliquent la plupart des buts concédés. Ajoutons que l'apport offensif de ces mêmes arrières est resté bien limité, avec des frappes hors cadre et des passes données à l'adversaire. Bref, il est nécessaire que les arrières grenoblois fassent le métier sobrement et s'emploient avant tout à faciliter la relance et interdire les sièges prolongés devant Quemenner.
Offensivement, c'est bien le manque de système de jeu et la grande pauvreté collective que l'on relève, les attaquants les plus dangereux ayant été comme par hasard les plus rapides et donc susceptibles de se créer des occasions par leurs propres moyens comme ce fut le cas avec Desrosiers, Ouimet et Sivic. On peut ici être partagé entre deux impressions. La première naît avec le chacun pour soi de Grenoble, caricatural par moment, qui voit le possesseur du palet partir à l'attaque seul pour s'engluer dans la défense ou balancer au fond et suivre sans forcément de conviction avec un défenseur parti avec dix mètres d'avance en récupération. Un individualisme souligné par Jean-François Dufour en conférence de presse et qui peut laisser à penser que le fond de jeu existe mais n'est pas appliqué. La victoire face à Rouen comme face à Gap en amical renforce cette hypothèse car comment gagner contre les Normands sans avoir un minimum de solutions derrière ? La seconde impression quand on voit une défensive grenobloise bel et bien perdue en relance face à un gros échec avant, pour qui chaque passe n'a rien d'évident, c'est qu'il n'existe pas de positionnement travaillé qui rende certains enchainements quasi-automatique, et cela questionne sur le rendement futur face à n'importe quel collectif de Magnus qui ne va pas venir jouer en amical ou en se désintéressant du sujet (toute allusion à Rouen est ici assumée).
Si l'on considère les carrières passées des joueurs grenoblois, leurs qualités physiques et techniques actuelles, on a pas l'impression que les Isérois sont en manque de talents, d'expériences et de kilos de muscles. A ce niveau, la comparaison avec Strasbourg laisse entrevoir deux équipes assez proches. C'est donc bien tactiquement que l'affaire se joue, avec l'acquisition d'automatismes et de quelques systèmes susceptibles de structurer un peu mieux les productions défensives et offensives. Avec beaucoup de nouveaux joueurs et une préparation estivale centrée sur le physique et les premières rencontres de rodage, le groupe a-t'il pu dépasser la mise en place collective et aborder les sujets qui fâchent comme la sortie de zone ou encore le jeu sans palet à l'offensive ? Il est clair que la bonne santé grenobloise ces prochaines semaines va passer par l'application stricte de ces consignes ainsi que d'une mise au point très ferme sur les excès d'individualisme entrevus ce soir. Sans un tel virage qu'il va falloir prendre rapidement, les temps pourraient être bien difficiles à Grenoble.
Finissons sur une note optimiste en soulignant que les Brûleurs disposent des joueurs pour produire un jeu de qualité et ne sont pas dos au mur sans musiciens capables d'exécuter la partition avec talent, mais il faut qu'ils travaillent collectivement et améliorent rapidement leurs performances en tant qu'équipe pour pouvoir rivaliser avec les autres formations de Ligue Magnus.
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snake a écrit | le 26/09/2011 à 21:58 |
skisoleil, oui mais encore faut il comparer les salaires, pour un français, 11 euros est clairement plus cher que 16,50 pour un suisse.
Pour ceux que cela interesse
http://www.insee.fr/fr/insee_regions/rhone-alpes/themes/syntheses/lettre_analyses/02028/02028_comparaison_salaires_france_geneve.pdf
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nonobdl a écrit | le 26/09/2011 à 21:32 |
Sinon, petite remarque à nos amis de HH : le logo des BDL a encore changé cette année.
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BD a écrit | le 26/09/2011 à 20:39 |
Si Grenoble perd, ça va être difficile pour avoir des supporters avec l'interdiction de sortir de la patinoire, il faudrait peut être que Hockey Hebdo le mentionne, parce que sinon quand les supporters de Rouen ou Briançon vont venir, ça va être chaud!!! |
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mid a écrit | le 26/09/2011 à 19:39 |
@ _33_ : qu'est-ce que vient foutre Rouen ici ? On parle bien du match Grenoble-Strasbourg non ?
Et puis, ne t'inquiètes pas pour Rouen, occupes toi de ton club |
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skisoleil a écrit | le 25/09/2011 à 23:51 |
@snake Correctif : Aux Vernets de Genève : Place debout en parterre non numérotée, hors match "premium" et hors play-off" = 20 chf soit 16,50€ au taux actuel.Une place assise "équivalente" au 11€ de Pole Sud est à 45 chf (match non premium) soit 37€. |
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_33_ a écrit | le 25/09/2011 à 18:56 |
il sort d'où ce fameux texte de loi pour affirmer que toute sortie est définitive ?
Cela veut donc dire que toutes les patinoires sont hors la loi et que seul Grenoble est vertueux ?
C'est marrant quand même, ça donne surtout l'impression que le club applique la loi quand ça l'arrange (avec les buvettes estampillées BDL).
Certaines décisions sont incompréhensibles, il faut faire quelque chose!
J'aimerai bien connaitre le niveau sonore en dB (décibels) pour savoir si le club est aussi vertueux qu'il le prétend !!
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Ak1x3r a écrit | le 25/09/2011 à 17:05 |
Juste pour rectifier quelque chose, "Défensivement, l'échec avant alsacien repose sur deux joueurs qui vont faire le maximum pour revenir en zone neutre après leur pressing offensif, ceci afin de proposer un bloc compact à mi-glace. Intéressant mais fatiguant à conduire et supposant 4 trios offensifs que n'a pas encore l'Etoile Noire." Faux on les a, mais Marcos est encore blessé, à cause d'une béquille bien vicieuse non sifflé lors du match D'Angers (ou Amiens je ne sais plus). |
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snake a écrit | le 25/09/2011 à 15:54 |
assez d'accord avec les messages précédents en ajoutant que la direction du club de grenoble commence à énerver sérieusement les supporters. Entre petits fours et champagnes pour les uns (un speaker intelligent vite!) et interdiction d'aller fumer ou de fréquenter le bar de la patinoire pour les autres (une première en magnus, et que l'on cesse de nous citer un prétendu règlement pour masquer le fait que le club ne veuille pas payer une sécurité correcte et surtout essaye d'asphyxier le bar "La gueule du Loup" qui entre autre a osé se plaindre de ne pas être payé par le club l'année dernière), on a d'excellentes raisons de ne plus mettre les pieds à pôle-sud, ce qui semble au reste être le cas vu les 300-400 places vides hier soir...
Messieurs les dirigeants, continuez à accumuler les décisions stupides et à prendre les spectateurs pour des cretins et vous verrez des sièges vide un samedi soir face aux vice-champions de France...sachant que 11 euros pour un virage c'est plus cher qu'en LNA Suisse dont le spectacle est vraiment tout autre... |
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Kesler67 a écrit | le 25/09/2011 à 13:37 |
"Le Canadien" : il n'est pas français Dufournet ?
Et on était resté sur 3 échecs consécutifs face à Angers, Dijon et Amiens. Sinon très bon article et bravo Strasbourg ! |
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bill a écrit | le 25/09/2011 à 12:59 |
pour titi3805 , je ne remet pas en cause le coach au bout de 2 journées , mais au bout d'une saison complète et du début d'une saison qui s'annonce aussi mauvaise que celle de l'an dernier !
et pourtant cette année il a monté l'équipe !
il n'y a aucune evolution !!!! voire c'est pire !! |
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bibifricotin a écrit | le 25/09/2011 à 12:50 |
Vous dites que le plan de jeu n'est pas appliqué par certains joueurs ,pourtant on voit toujours les même sur la glace qui ne font m^me pas d'echec avant pour soulager les def!!!
ou est la quatrème ligne ????
pas vu si ce n'est qu'en debut de match (un shift et ennfin pour dix seconde de jeu avant la sirène !!!!
je me rappelle lorsque je jouait quand on appliquait pas les consigne son finissait en bout de banc !!
Sinon analyse assezpointue et juste !
Merci a vos photographes égalementqui ont quand m^me sortis d ebelles photos et qui ont du quelque peu s'ennuyer pendant deux tiers en étant que du mauvais coté de la glace . |
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phenix27 a écrit | le 25/09/2011 à 12:03 |
Bravo a l'etoile noire!!!! |
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_33_ a écrit | le 25/09/2011 à 11:46 |
laissons du temps au coach pour modeler son groupe.
Si les joueurs sont sourds, on ne va pas faire comme à Rouen où les joueurs dirigent l'équipe. A eux de rentrer dans le pas et d'appliquer les consignes, comme des professionnels.
autre solution... faire comme Villard qui n'a pas hésité à remercier des joueurs qui ne convenaient pas ? |
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titi3805 a écrit | le 25/09/2011 à 10:53 |
Compte rendu complet et juste...
on ne peut pas néanmoins au bout de la deuxième journée commencer à remettre en cause le coach (pour BILL)...
le collectif n'est pas encore le point fort et doit être amélioré mais il faut surtout éviter des erreurs individuelles par exemple:
Quemener sur le premier but, le 2 contre 1 raté alors que Strasbourg a eu la même occasion juste après et ils l'ont mis au font...le 2+2 de ROULEAU à 5 minutes du terme ,pénalité stupide qui anéanti tout espoir de revenir au score...
SPORTIVEMENT |
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a écrit | le 25/09/2011 à 09:33 |
Voilà un compte-rendu de match que de nombreux Grenoblois présents à Pôle Sud vont approuver !
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bill a écrit | le 25/09/2011 à 08:09 |
excellente analyse vraiment ...tout est dit !
pour ma part ,je remet en cause le coach qui n’amène aucune solution , comme l'an dernier rien n'a changé et que dire sur 60 minutes il n'est pas capable de donner les ficelles à son équipe pour que le jeu change et évolue dans le bon sens au cours du match
c'est un désastre annoncé ...je ne pense pas que dufour soit l'homme de la situation ! |
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