« Belle soirée pour le hockey…
… comme il en faudrait plus souvent ! »
En guise d’amuse gueule, le petit résumé de Marie HAEST, plus habituée aux ambiances de l’Ile Lacroix qui est pourtant repartie enchantée de sa visite dans la patinoire Ciel et Marine…
« Le club du Havre a mis les petits plats dans les grands pour cette soirée de gala opposant le HAC Hockey club aux Canadiens de la métropole. Tout à été pensé de manière à faire vivre une bonne soirée aux spectateurs, qui ne forment pas forcément un public averti, mais plutôt familial. La pédagogie est présente grâce à de nombreuses et judicieuses prises de parole du speaker pour expliquer les règles ou même interviewer brièvement les joueurs qui se retrouvent sur le banc de la prison. Une ambiance vraiment conviviale qui permet à tout le monde de découvrir ce sport sous toutes ses facettes :
- Le show avec des fumigènes à l’entrée des joueurs, un speaker, de la musique, les hymnes nationaux…
- La technique avec deux équipes affûtées et prêtes à en découdre pour l’occasion. Les canadiens, forts de leur culture du hockey, parviennent en toute décontraction à réaliser de biens beaux gestes. Les havrais, quant à eux ne déméritent pas, bien au contraire, à l’instar de leur gardien C. Haest (aux initiales évocatricesJ) ou encore à P-J. Serville, qui ne doivent pas rougir de leur prestation.
- Du plaisir avec des buts et des buts ! Même si les locaux ont mené au score 6-3, les Canadiens n’auront pas tardé à faire parler la poudre ! Ils remontent le score en moins de dix minutes et reprennent l’avantage. De quoi tenir en haleine le public !
En tout cas, une bien belle initiative pour promouvoir le hockey sur glace. Avec un peu de bonne volonté et la motivation d’une équipe, on arrive à faire de grandes rencontres comme ce soir juste pour l’amour du sport, et ça, ça fait du bien. Peu de pénalité, respect total, fair-play, bonne entente, rigolade et concentration auront été les maîtres mots de la soirée ».
Marie HAEST
Après un énorme boulot de préparation par les membres du bureau du club, emmenés par Hélène BARA la Présidente et Thierry BODENANT le secrétaire la date arrivait, le jour J, comme on dit depuis juin 44 …. Mais cette journée devait être une fête, la fête du Hockey.
Prévue depuis environ un mois, LA RENCONTRE allait enfin avoir lieu. Les Canadiens de la Métropole débarquaient enfin au Havre, afin d’y affronter des Dock’s impatients et anxieux. L’objectif était clair, se faire plaisir, mais les locaux allaient- ils prendre une once de plaisir en se faisant rosser par une équipe qui leur semblait tellement supérieur.
Le club de la porte océane s’était mis sur son trente et un pour accueillir les cousins québécois comme il faut…
Avant le match, les petits s’étaient livrés une joute bien sympathique ce qui leur permettait de se positionner pour accueillir leurs aînés de part et d’autre de la porte d’accès à la glace.
Patientant derrière un rideau fixé pour l’occasion, les deux équipes faisaient connaissance. Le portier partant pour le havre, tentait d’amadouer les Canadiens.
« Mes parents sont dans la salle, ma femme, mes filles, ma petite sœur aussi, alors vous ne m’humiliez pas, d’accord ! ! ! J’ai commencé l’an passé le Hockey moi ! ! !
Avec l’accent québécois « Et c’est toi qui commence ? ? Bah alors on va pas t’humilier, pas plus de dix buts, OK ?
« Pour le premier tiers, dix buts, OK ! ! ! »
« Non pas premier tiers, cinq premières minutes ! ! ! »
Hilares devant cet échange, les joueurs partageaient des blagues, et autres taquineries, quand le gardien havrais a réalisé qu’il venait de blaguer avec Pascal RHEAUME. Pascal RHEAUME, c’est juste dix saisons en NHL, une coupe Stanley avec les Devil’s de New Jersey en 2003, des tirs contre Brodeur, Theodore, Giguere, Aubin et autres…. Pfiou, frisson de plaisir et d’inquiétude, le gaillard est du genre impressionnant, taillé comme un bûcheron, des mains grandes comme un département, il doit avoir un slap qui arrache la mitaine ! ! !
Pascal RHEAUME, en chair et en muscles.....
Au top, annoncé par radio, la patinoire dans la pénombre, éclairée par un projecteur en poursuite, les gladiateurs sortaient d’un nuage de fumée sur le rythme endiablé de « Time is Running Out » du film SWAT. Ils arrivent sur la glace, prenant chacun un petit du club par la main pour rejoindre sa ligne bleue respective.
Chaque joueur présenté individuellement, par José CLERCQ, animateur de la Société Watson, et gratifie le public d’une figure au centre de la piste. L’ambiance était déjà chaude et chaque joueur recevait une belle salve d’applaudissement, notamment les petits havrais, bien évidemment chouchous de leur public ! ! !
Les équipes face à face pendant la présentation des joueurs.
S’ensuivaient les hymnes nationaux scrupuleusement respectés par l’affluence, avec un O Canada, repris haut et fort par nos cousins d’outre atlantique, et une Marseillaise entonnée quasi religieusement. A l’issue de cet avant match, les Canadiens, visiblement émus par cet accueil « de rois » comme ils diront remettaient aux joueurs havrais des tee-shirts ornés du désormais célèbre dans la cité de François 1er, Propriété des Canadiens de la Métropole.
La lumière revenue, il était temps de faire place au jeu. On était tout de même venu pour ça.
Petit cri de guerre, énorme cri de guerre en fait, chez les locaux, histoire d’évacuer le stress, la trouille, la tension.
Dans les buts havrais, le portier, s’en voulait d’être là, se demandait déjà pourquoi il avait fait signe à l’arbitre qu’il était prêt. Les questions se bousculaient. « Qu’est ce que je fous là ? Pourquoi j’ai dit que j’étais prêt, je ne suis pas prêt du tout » Les jambes tremblantes devant le spectacle qui s’offrait à lui à mi patinoire. Cinq joueurs et un gardien, en bleu blanc rouge, oui, en tricolore, en uniforme du Canadien de Montréal, quasiment, seul le M à la place du H change, mais l’émotion était là, presque palpable. L’impression de jouer autre chose qu’un match amical, l’impression d’être au Centre Bell de l’autre côté de l’atlantique, l’impression que les 200 spectateurs sont cent fois plus…
Coup de sifflet, le palet tombe, le 32 canadiens, Pascal RHEAUME (10 ans de NHL) arrache les bras du Havrais, et le palet par la même occasion .Ca va vite, très vite même. Comment ils font, ils ne regardent jamais le palet, ils l’ont collé à la palette, et ils font des passes sans se regarder.
Leur jeu sera simple, leur technique leur permet de se placer quasi en power play à 5 contre 5, un se met devant le gardien maritime, un autre est trois quatre mètres devant le slot et joue la déviation, le palet tourne tourne et part vers le but…
Les Havrais ne s’en laissent pas compter, le Carquefou du Hockey bien qu’assiégé joue tous coups à fond, poussant régulièrement sont palet jusqu’à la ligne de but québécoise. Devant tant d’audace, les visiteurs haussent le niveau de jeu, mais cela ne suffit pas, les havrais ne sont pas largués, et le couteau entre les dents, ils tiennent le choc, mieux, ils soutiennent la comparaison. L’ampleur du défi qui leur est proposé leur donne des ailes, tous motivés à 120%, ils se jettent sur chaque palet comme des morts de faim, protège leur gardien comme une relique sacrée.
Le gardien, Christophe HAEST #22, parlons en, après un échauffement plus que moyen (troublé par la préparation de l’entrée des joueurs), il redoutait le premier tir. Quand il le sentit venir, le jeu lui sembla se dérouler au ralenti, le palet venait le toucher à la poitrine sans force. Le jeu reprenait, le palet à quelque centimètre devant lui, dégagé in extremis par un défenseur vigilant. Rassuré par cet arrêt, ma foi simple, le gardien laissait sortir sa tension dans un cri sourd de bête blessée. Ah oui, du palet sans force, il reste une jolie trace… Sans force mon œil…..
Surprise à 4’41’’, les maritimes par Alexandre MULLE # 15 prenaient l’avantage sur un contre savamment orchestré par Maxime FREBOURG #10 et Camille DOCQUEMARE #5. Les locaux soutenus par leur public profitaient pleinement de la joie inattendue de cette ouverture du score.
Le gardien havrais isolé dans sa bulle, ne goûtait qu’une petit partie de la joie collective, et craignant que ce but ne réveille le grizzly canadien ; il appelait au calme, au sérieux, au travail…
Le jeu reprenait, la tête dans les étoiles, les ciels et marines demeuraient sérieux et conservaient un jeu simple, défense encore défense et contres dès que possible. Le portier canadien avait peut d’arrêts à faire mais toujours sur des contres, et souvent sur des breaks ! !
Les Canadiens, vexés par ce premier but, mettaient une grosse pression sur la cage défendue avec ardeur par un portier décidé à ne pas faire le moindre cadeau à ces sympathiques cousins.
A 8’56’’, Fabien BOUILLOUX était envoyé au cachot pour avoir accroché un adversaire, les canadiens installaient le power play, donnant à la défense maritime l’occasion de s’exprimer et au gardien maintes opportunités de s’illustrer.
Sur la gauche du but, un canadien s’infiltre, s’approche, près, trop près, dans un papillon quasi nhl – like (on peut rêver non ??), le portier s’interpose, l’offensif lorgne vers la lucarne, le goalie se redresse, se grandit tant qu’il peut, et il finit par toucher le bout de caoutchouc avec l’épaule, juste assez pour l’envoyer au dessus du plexi. Le canadien en grogne encore…
A 14’15’’, Vincent DENONCOURT, #39 canadien déviait le tir de Pascal RHEAUME et masqué par un autre joueur tricolore, le cerbère des locaux s’inclinait pour la première fois de la partie. Déçu, et forcé d’admettre qu’il n’y pouvait rien, il recevait les encouragements de son équipe qui avait compris que son gardien après tant d’effort était sonné …
Pour finir, même phase de jeu que sur le premier but, un tireur, un « dévieur », un gêneur, mais le portier sent le jeu plus qu’il ne le voit, et papillonne, ne palet est loin, la jambe droite se détend tout ce qu’elle peut, à en sentir la douleur aux adducteurs, mais le palet vient toucher la botte et repart dans le coin, ouf, s’est passé près…
Peu importe le style, faut pas que ça rentre !! L'arrière garde Ciel et Marine tient le choc.
Las, une minute trente plus tard, les Canadiens passaient devant, sur un jeu autour de la cage, Hugues Poirier # 26, acceptait la passe de Marc André Daneau et envoyait le palet dans le filet ! ! ! Avec un score de 1 à 2 à la fin du premier vingt, l’honneur havrais était plus que sauf et cela permettait de fous espoirs pour les ciels et marines.
Ne se décourageant pas le portier enfilait à nouveau son bleu de chauffe, pour que l’addition ne se corse pas d’avantage, il frustrait Pascal RHEAUME himself, parti seul en break, l’inconscient cerbère se jetait devant le joueur, protégeant son filet de son corps, le géant #32 ratait la cible au grand étonnement du gardien, encore allongé sur la glace quand un défenseur lui susurra de se relever le palet étant encore en jeu.
« Y’a pas but alors ? »
« Bah non, t’as fait l’arrêt ! ! ! Mais relève toi vite ! ! !»
Quelques minutes plus tard, c’était au tour d’Alexandre MONAHAN de ressortir frustré de son entrevue avec le portier quasi débutant de la Porte Océane. Tentant la traversée du slot de gauche à droite pour déjouer le gardien, il voyait celui-ci se jeter sur le puck comme si sa vie en dépendait, son intervention rapide permettait d’écarter encore une fois le danger.
De retour aux vestiaires, le gardien recevait des compliments, qu’il entendait tout juste, tant il peine à retrouver son souffle et sa lucidité. Le palet circule tellement vite, que même sans arrêt à faire, les déplacements on été multiples d’un poteau à l’autre, en avant en arrière, papillon debout, l’effort physique et de concentration a été tel qu’il peine à recouvrer ses moyens.
Dans le vestiaire bleu, peu de paroles, des gestes, des clins d’œil, le match certes amical et sans charge se déroulait sur un rythme rapide, pour ne pas dire endiablé.
Encore sur le nuage de leur bonne prestation du premier tiers, les havrais déchantaient vite, en effet, sur l’engagement, Matthieu Ras #13 était envoyé au cachot, et les Canadiens s’installaient et faisaient tourner. Bien qu’interviewé par l’animateur, Mathieu ne parvenait pas à déconcentrer les québécois. Et dès 20’59’’, les visiteurs par Alexandre MONAHAN #11, assistés des #32 et #4 prenaient le large au score pour un 01 à 03 pas complètement immérité tant ils dominaient.
Les locaux allaient ils couler ? Allaient-ils rendre les armes face à ces globe-trotters du hockey ?
Que nenni, le havrais meurt mais ne se rend pas. Porté par le public, alléché par leur ouverture du score, les maritimes retrouvaient leur hockey, leur jeu en passe et décidaient contre toute attente de bousculer les colosses canadiens.
Les offensives se multipliaient, la domination tricolore était d’un coup moins importante, le portier havrais se surprenait à regarder le match de loin, regrettant presque le premier tiers et sa folle activité.
A 24’12’’ le meilleur buteur havrais de la saison et capitaine du soir se rappelait au bon souvenir de ses filets préférés, PJ SERVILLE #12 poussait son contre au bout, et par une jolie feinte trompait le portier des Canadiens de la Métropole en l’envoyant dans le zig pendant qu’il envoyait le palet dans le zag. 02 – 03, l’espoir quoique fou renaissait, et désormais la folie changeait de camp, les havrais tout feu tout flamme prenait quasiment le jeu à leur compte. La petite troupe canadienne passait péniblement la mi match. Nul doute, que le calendrier chargé depuis début mai et le faible effectif commençaient à peser dans les patins nord – américains…A 31’07, Antoine KEISSER #3, s’invitait au festin, et y allait de son filet, après avoir accepté la passe de Félix FREBOURG, #8. 03 – 03. Et tout recommence… Les havrais survoltés, font feu de tout bois et bousculent les métros.
Les havrais en profitaient pour envoyer leur portier partant «modèle grand père » se reposer sur le banc et faisait rentrer Mickael TROADEC #2, le portier de poche.
Fourbu mais radieux, Ch. HAEST laisse sa place à mi match / Du trafic devant Mickael TROADEC
A 32’21’’, Stephen CABANA, coach et capitaine des Canadiens de la Métropole accrochait un ciel et marine et finissait en prison. Les locaux en profitaient, à 33’39’’ Alex MULLE # 15 signait son doublé, donnant une priorité d’un but aux locaux. Prenant en compte avec délectation la nouvelle passe de Maxime FREBOURG, #10, il trompait le portier des visiteurs. Le Havre prenait à nouveau l’avantage. Le public, l’équipe se mettaient à rêver tout haut, et si l’ouverture du score en début de match, n’était pas seulement qu’un hasard….
Mieux, à 34’12’’, sur des canadiens semblant chercher de l’air, les havrais trouvaient encore une fois la faille, et prenaient une avance de deux buts. 05 à 03, par Stéphane LAIGRE #4 qui sur une offrande de Matthieu RAS #13 mettait les partisans dans un état second. Arrivant sur la droite du gardien, il armait un shoot qui se fichait dans le petit filet opposé, laissant le gardien sans réaction. Et si, et si c’était possible.
Sur leur lancée, les havrais ne lâchaient pas prise, pourtant, jamais en championnat, ils n’avaient ainsi poursuivi l’effort. Le public, la défaite annoncée (pour ne pas dire la correction) leur donnaient des ailes. A 35’04’’, Stéphane LAIGRE mettait la même avec les complicités actives de Félix FREBOURG #8 et Antoine KEISSER #3. 06 à 03, oui, 06 à 03, impossible n’est pas français.
Stéphane LAIGRE #4 donne le 06 à 03 assisté de Félix FREBOURG #8
La difficulté pour le second gardien d’entrer dans un tel match, l’euphorie due à une avance de trois buts, les canadiens haussaient leur niveau de jeu, et muselaient les jeunes pousses havraises.
Pire, les trois dernières minutes du tiers voyaient les visiteurs fondre sur leur proie, revenant de 06 à 03 à six partout.
37’16’’, but de Vincent DENONCOURT, #39 assisté de Pascal RHEAUME, #32. 06 à 04.
37’34’’, but de Pascal RHEAUME, #32, assisté d’Alexandre LABONTE, #27. 06 à 05.
39’56’’, but de … … Pascal RHEAUME, #32, assisté de ? ?
Tout était à refaire quand les havrais revenaient aux vestiaires, bien contents toutefois d’avoir forcé les Canadiens de la Métropole à un gros effort en fin de tiers pour recoller au score. Score de parité au début du dernier vingt, tout espoir était permis et le gros et jeune effectif havrais permettait d’y croire.
A l’entrée sur la glace, pour le dernier vingt, l’aspect amical du match passait au second plan, les deux teams voulant arracher la victoire.
Les canadiens, revigorés par leur égalisation quasiment sur la sirène, reprenait leur poussée en avant, sollicitant souvent le lutin en charge du filet havrais.
A 45’33’’, les tricolores trouvaient la faille, par … Pascal RHEAUME #32, assisté de Dave NOLIN, pour un 06 à 07 qui faisait mal aux ardeurs havraises, d’autant qu’on avait bien senti sur cette entame de dernier tiers que les visiteurs avaient haussé le ton.
A 47’18’’, ils remettaient le couvert, marquant par Vincent DENONCOURT # 39 assisté de … Pascal REHAUME, oui encore lui, pour un 06 à 08 qui paraissait anéantir les locaux.
Dans un sursaut d’orgueil, poussé par son public, à 53’15’’ Maxime FREBOURG # 10 ramenait les Dock’s à une unité des adversaires du jour. 07 à 08. Les dernières minutes allaient valoir le déplacement ! !
A 54’59’’ les Canadiens de la Métropole scellaient le match, sur un but de Vincent DENONCOURT #39, sur une passe de devinez qui ? ? ? Pascal RHEAUME, #32, pour un 07 à 09.
A la sirène, les joueurs se sont tombés dans les bras comme rarement, interviewé en fin de match Stephen CABANA reconnaîtra la qualité de l’accueil havrais, ainsi que la combativité de l’équipe, ayant obligé sa team à jouer sérieusement…
Après une douche réconfortante, les protagonistes étaient pris d’assaut par les petits du club demandant des autographes aux stars du soir qui sur un tee-shirt, qui sur une crosse. Les deux équipes se rejoignaient pour partager un verre de l’amitié, ainsi qu’un buffet gargantuesque mise à disposition par le HAC Hockey Club.
Les conversations hockey traîneront jusque tard dans la nuit dans la patinoire puis sur le parking, avant que tout ce monde là n’aille fêter cette nouvelle amitié en boite de nuit. Avant de quitter la patinoire, les Canadiens acceptaient l’offrande de nourriture à l’issue du buffet, et partaient avec une bonne quantité de salade de crudités, de pâtés et de fromages….
Un grand merci, mais alors énorme à Philippe COUYERE pour les photos.
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