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Hockey sur glace - Tribune libre de Tristan Alric
Hockey sur glace - 96 / « DANY » GALLAND EST ENTRÉ DANS L’HISTOIRE
 
Décédé au mois d’août, l’ancien international de Gap est une légende sportive de la ville de Gap et de son club local de hockey sur glace. Tristan Alric, créateur de la Coupe Magnus, tient à rendre hommage à cet hockeyeur qui a marqué l’histoire de notre discipline.
 
 

Tribune N°96

 
 
« DANY » GALLAND EST ENTRÉ DANS L’HISTOIRE
 

Au mois d’août dernier, la cathédrale de Gap a été le théâtre d’un événement très émouvant concernant le hockey sur glace français. Malheureusement, comme il s’est produit en plein milieu de la période estivale, il n’a pas bénéficié du retentissement qu’il méritait alors qu’il s’agissait d’un fait marquant au regard de l’histoire de notre discipline.
En effet, un record d’affluence a été battu dans la cathédrale des Hautes-Alpes à l’occasion des obsèques de l’ancien hockeyeur Daniel Galland. Un fait qui ne trompe pas : à la sortie de cette cérémonie qui avait réuni un nombre considérable de participants, des jeunes hockeyeurs gapençais ont fait une haie d’honneur au-dessus du cercueil du défunt avec leurs crosses levées. Beaucoup d’anciens joueurs qui furent ses coéquipiers, mais aussi des hockeyeurs professionnels actuels des Rapaces de Gap ont tenu par ailleurs à accompagner Daniel Galland jusqu’au bout.
Juste après la cérémonie, un pot d’adieu en hommage au célèbre numéro 9 a été offert à tous ses proches amis par la mairie. Le club profita également du premier match de la saison de la ligue Synerglace Magnus, disputé à domicile contre Anglet à la mi-septembre, pour organiser une minute - non pas de silence - mais d’applaudissements nourris en sa mémoire. Ce vibrant témoignage de reconnaissance du public et des supporters (suivi d’une mise en jeu fictive du maire) s’adressa également au défenseur Bernard Galliano surnommé familièrement « Tonton », ancien gérant de la discothèque « Le Final », qui était décédé également deux mois plus tôt.

 
UNE ÉMOTION LOCALE TRÈS FORTE


Si l’onde de choc suscitée par le décès de Daniel Galland s’est répandue avec autant de force dans tout le département des Hautes-Alpes, c’est que l’ancien international tricolore, âgé de 73 ans, était non seulement une véritable légende locale du club des « Rapaces », mais également un personnage politique de tout premier plan depuis qu’il avait raccroché ses patins et ranger ses crosses il y a une quarantaine d’années.
Longtemps employé de la banque du Crédit Agricole, devenu adjoint au sport et aux événements sportifs de la ville de Gap pendant plus de vingt ans, Daniel Galland resta malgré tout fidèle à sa première passion en étant toujours omniprésent et très actif. Jusqu’à une opération d’une tumeur du cerveau au mois de mai 2023 qui l’obligea à se soigner dans l’établissement spécialisé L’Eau Vive à Turriers. L’ancien hockeyeur avait pourtant retrouvé semblait-il de la force après une longue période de rééducation avant que ses soucis de santé ne l’obligent malheureusement à se retirer de la vie publique ces derniers mois.

 
Capture d'écran BFM DICI de Gap

Membre de l’équipe de France entre 1970 et 1977, celui que tout le monde appelait affectueusement « Dany » a eu donc tout au long de sa vie deux carrières bien remplies qui se sont merveilleusement entrecroisées : celle de joueur de haut niveau d’abord (il fut champion de France avec Gap en 1977 et 1978), puis celle de membre du conseil municipal de la ville de Gap. Deux activités exemplaires (parmi d’autres) qui lui valurent d’être nommé en 2023 Chevalier dans l’ordre national du mérite.

 
UNE PLUIE D’HOMMAGES SUITE À SON DÉCÈS


Mon ami « Dany » Galland avec qui je discutais régulièrement au téléphone depuis de nombreuses années (Il aimait faire des commentaires sur mes articles) était un homme jovial, affable et toujours bienveillant. Il faut souligner que c’était un véritable homme de terrain qui s’engageait dans tous les événements sportifs concernant sa région comme le Tour de France cycliste, le Rallye Monte-Carlo, le Meeting aérien de Gap-Tallard ou encore le Trail Gapen’cimes. Bref, il faisait l’unanimité comme le prouve la pluie d’hommages que suscita l’annonce de son décès cet été.
Voici quelques réactions de ses proches, notamment de plusieurs anciens membres de l’équipe de France, qui résument parfaitement le personnage et font mesurer à quel point l’émotion est palpable dans la ville de Gap depuis sa disparition.


Roger Didier, maire de Gap : « Daniel était plus qu’un membre de mon équipe municipale. C’était avant tout un ami de très longue date puisqu’on a joué ensemble au hockey sur glace. A l’époque, la patinoire n’était pas encore couverte. Nous partagions donc une passion sportive commune en allant jouer ensemble au hockey qui était notre principale préoccupation dans notre jeunesse. Depuis ce temps-là nous ne nous sommes jamais perdus de vue. Son décès me touche beaucoup car c’était un adjoint très précieux qui connaissait parfaitement le sport local et tous ses représentants. C’est une grande perte pour notre ville. »


Jérôme Escallier, président du club de Gap : « Sans l’aide de Dany, est-ce que nous aurions pu construire l’Alp’Aréna ? La réponse est dans la question ! Car il était un fervent défenseur de ce projet qui nécessitait un investissement important de 15 ou 16 millions d’euros. Dès qu’il a été élu à la mairie, il a porté haut les couleurs de notre club. Dany ne ratait jamais un match, il venait régulièrement à la patinoire avec visiblement une passion et un grand plaisir. Daniel Galland, c’était notre relais idéal avec la municipalité. Son décès est une vraie perte car il nous a défendu sans cesse d’une manière exemplaire. Je ne suis pas sûr que sans Dany les Rapaces de Gap existeraient encore ! »


Georges Libermann, ancien international de Gap : « Dany était un véritable personnage. L’été il jouait à la Boule Lyonnaise et il aimait tous les jeux d’adresse. Comme je l’ai dit dans mon homélie lors de ses obsèques dans la cathédrale, il était un ami d’enfance de toujours. La fenêtre de notre amitié s’est ouverte pendant notre jeunesse dans le quartier de la Blache et elle restera ouverte éternellement. C’était un hockeyeur de talent. J’ai joué pendant 15 ans avec lui et avec Alain Vinard. Dany avait le sens inné de l’organisation et de l’intelligence du jeu. Pour moi, il était un ami de la famille Libermann car on pouvait toujours compter sur lui. »


Charles Libermann, ancien international de Gap : « Grâce à ses fonctions municipale et ses nombreux contacts, il a essayé de caser plusieurs joueurs. Comme mon frère, je garderai de lui l’image d’un ancien combattant sur la glace. Nous avons joué ensemble lors des championnats du monde à Galati en Roumanie, lui au centre et moi sur l’aile. Mais il ne faut pas oublier aussi qu’il a remporté en tant que joueur tous les titres de champion de France dans les petites catégories avant les deux titres en senior. En fait, nous ne nous sommes jamais séparés dans le hockey jusqu’en 1983. Par la suite, on se croisait pendant tous les matches auxquels il assistait avec une grande fidélité. C’est une époque qui s’en va avec lui… »

 
Daniel Galland, assis au premier rang, a été l’entraîneur de l’équipe junior de Gap qui fut sacrée
championne de France en 1979.

Alain Vinard, ancien capitaine de l’équipe de France : « Lors de ses obsèques, j’ai eu l’honneur de porter son cercueil avec entre-autres Georges Libermann car nous avions partagé tous les titres de champion de France dans le hockey mineur. J’avoue que pour la première fois de ma vie, à l’occasion de ses obsèques, j’ai ressenti une tristesse très profonde. Un sentiment incroyable. C’est comme si j’avais perdu un proche dans la grande et belle famille du sport que nous formions à Gap. Pour me mettre un peu de baume au cœur, je garde comme bon souvenir une anecdote le concernant. Lors d’un stage de hockey franco-allemand dans la station de Font-Romeu dans les Pyrénées, Dany était tombé amoureux et il était fasciné par la célèbre nageuse Kiki Caron sacrée médaille d’argent aux J.O. de de 1964. Du coup, il allait tous les jours la voir au bord de la Piscine ! »


Dominique Pelloux, ancien international de Gap : « C’était un équipier modèle qui n’était jamais dans la polémique. Dany était consensuel, avec lui pas de vague. Il était toujours disponible et chaleureux. C’est pour cette raison qu’il fut longtemps un élu municipal très apprécié. D’autant qu’il était un lien important avec l’entraîneur et privilégiait toujours le compromis. Il a rendu beaucoup de services au club local pour plein de raisons. Dany a défendu comme peu de gens la cause du hockey sur glace à Gap. Il a été le coach de notre équipe juniors championne de France, mais il n’est pas resté longtemps entraîneur comme ce fut par exemple le cas de Charles Libermann qui totalise à ce jour 40 ans de tournois divers ! Mais Dany Galland a été un autre pilier porteur très important de notre club. »


Robert Oprandi, ancien international de Gap : « C’était un véritable ami car j’ai fait mon service militaire au bataillon de Joinville avec lui et nous étions dans la même chambre. De plus, j’ai travaillé pendant 35 ans à la ville comme éducateur sportif et Dany Galland était l’élu qui s’occupait de ce secteur. On se voyait donc très régulièrement avec grand plaisir d’autant que j’ai appris mon hockey en même temps que lui. C’était un distributeur de jeu hors pair qui m’a fait marquer énormément de but. On jouait sur la glace les yeux fermés. Nous étions également toujours fourrés à la Blache pour jouer aux boules. Dany n’avait pas d’ennemi et il était toujours joyeux. J’appelle ça un « frère de sport » qui avait aussi une mémoire d’éléphant. Une anecdote qui me revient à son sujet : comme l’équipe de France n’avait pas pu disputer les J.O. d’hiver de Sapporo au Japon en 1972, le président Jean Ferrand nous avait fait venir ensemble à Ljubljana en Slovénie pour disputer un tournoi amical de consolation. Contre la Norvège, Dany et moi nous avions échangé nos casques avec nos adversaires pour porter tous les deux des « Jofa » avec l’arrière jaune et le devant bleu sur lesquels on avait inscrit le nom de Gap. C’était un équipement original qui nous liait tous les deux. »



Stage de l’équipe de France à Gap en 1971, de droite à gauche : Pete Laliberté (coach), Dany Galland, Jean Vassieux, André Jaccaz, Yvan Guryka, Patrick Charlet, un cuisinier, Patrick Francheterre
et Louis Smaniotto.

 
Philippe Rey, ancien international de Gap puis Chamonix : « Dany Galland et moi, nous sommes nés dans le même quartier de la Blache. C’était donc un ami proche dans tous les sens du terme. Il était un peu plus âgé que moi, mais nous avions seulement quatre ans de différence. Lui aussi, il a fait partie de la fameuse « école Gélinas ». Dany a toujours été un joueur d’exception dans la mesure où, à son époque, c’était un très bon centre qui a fait marquer beaucoup de buts judicieux. Je suis d’autant plus touché par sa disparition que nous avions disputé ensemble ses premiers championnats du monde organisés à Gap et à Grenoble en 1974. Moi, je jouais sur une autre ligne, avec Patrick Francheterre et Antoine Préchac, mais j’ai pu admirer son rendement et son comportement sur la glace. Ceci dit, je garde en mémoire que c’était un gros défenseur de la pétanque et du hockey. Il était un très bon conseiller pour toutes les associations sportives locales. Depuis que je suis parti de Merlette pour revenir habiter à Gap, il nous arrivait de jouer ensemble au boulodrome de la Pépignière plusieurs fois par semaine l’après-midi. Le hockey de Gap a perdu une aide précieuse. »


Louis Smaniotto, ancien international de Villard-de-Lans : « J’ai eu l’occasion de jouer très souvent contre lui surtout en championnat de France. Donc je le connaissais très bien. Mais j’ai été aussi son coéquipier en équipe de France. Dany Galland était vraiment un mec bien, un très bon pote. Ce n’était pas un hockeyeur violent mais au contraire très fin dans son jeu. Du coup, ça se passait toujours bien avec lui car il était réglo. C’était l’archétype de l’école enseignée par le célèbre entraîneur de Gap Camil Gélinas. Sa nouvelle brillante carrière comme conseiller municipal ne m’a pas étonné car Dany Galland avait le sens inné du contact en restant toujours naturel et convivial avec les gens. C’est triste car c’est une grande figure du hockey qui s’en va. »


Roland Muret, ancien président de Gap et trésorier de la FFHG : « J’ai joué un peu avec Dany, c’était un bon copain. La cérémonie dans la cathédrale archicomble lors de ses obsèques, avec les hockeyeurs portant des crosses en son honneur à la sortie de la messe, restera un souvenir très émouvant pour moi, comme certainement pour tout le monde. En tant qu’ancien président du club de Gap entre 1992 et 1996, j’ai pu apprécier la personnalité très attachante de Daniel Galland qui a toujours tenu à rester fidèlement à nos côtés pour nous aider. Il nous a toujours soutenu quand nous en avions besoin. Ce fut finalement le premier de nos supporters ! Je me souviens qu’il était très proche à l’époque de l’entraîneur tchèque Zdeneck Blaha. »


Robert Megy, ancien membre de la Ligue des arbitres chargé des désignations nationales : « Je fus d’abord président de l’ancien club de l’AS Grenoble. Mais, quand je suis arrivé à Gap en 1974, j’ai joué un peu avec Dany avant de devenir surtout arbitre et responsable au sein de la LNAF, l’ancienne ligue nationale des arbitres. Quand le coach tchèque Zdeneck Blaha dirigeait les entraînements, j’arbitrais des petits matches de préparation. Or, j’ai pu me rendre compte que pendant sa fonction municipale Dany Galland était un homme très consensuel, un conciliateur qui arrivait toujours à arranger les petits soucis. Il avait de l’entregent mais ce qu’il faut souligner aussi c’est qu’il était un pince-sans-rire avec Charlot Libermann. Tous les deux, ils ne rataient pas une occasion de plaisanter avec toujours des mots marrants. »



Daniel Galland est debout au centre avec sur son maillot la lettre A d’assistant de l’équipe de Gap senior qui fut
sacrée
championne de France en 1978.
 
Christian Prudhomme, directeur du Tour de France cycliste : « Daniel Galland n’a jamais fait de vélo, mais quel joueur de hockey sur glace c’était ! Si je compte bien, il compte dans son palmarès 80 sélections en équipe de France et il a participé à l’organisation locale de 11 Tours de France cycliste en tant qu’adjoint des sports à la mairie de Gap. C’est comme cela que j’ai pu faire sa connaissance. Je l’appréciais beaucoup car localement il était une aide indispensable comme ce fut le cas je crois dans plusieurs autres événements sportifs. Daniel Galland m’avait raconté un jour que lorsqu’il avait 17 ans, l'avant-veille de la mort de Tom Simpson décédé en escaladant le mont Ventoux le 13 juillet 1967 d'une crise cardiaque, il était dans le Galibier. Avec des copains, ils l’ont aidé à se remettre sur le vélo. En tant qu'élu, son pire souvenir, m’avait-il dit, c'est la chute de Joseba Beloki le 14 juillet 2003 et la traversée d'Armstrong plein champ dans la descente de La Rochette juste au-dessus de Gap. Daniel Galland, c’était avant tout le hockey sur glace mais il aimait aussi beaucoup le cyclisme ! »


Jean-Pierre Martin, quatrième adjoint de la mairie de Gap : « Dany Galland était un véritable ami comme pourraient le dire beaucoup d’autres. Pour ma part, on se connaissait depuis 65 ans, ça compte ! Au-delà du sport, le décès de Dany, c’est une grande perte pour Gap. J’ai joué avec lui à la boule ferrée et au sein des Rapaces. Dany était un gars très fidèle sur qui on pouvait toujours compter. Il laisse un grand vide dans notre région. Et je pense que c’est la même chose dans le hockey sur glace français. »

 
DANIEL GALLAND LAISSE UNE TRAÇE SUR LA GLACE


Pour conclure ce florilège de réactions qui laisse transparaître une reconnaissance unanime pour les grandes qualités humaines et sportives de Daniel Galland, j’ajouterai - car je crois aux forces de l’esprit - que cet « enfant du pays », doit certainement continuer à parler avec passion de hockey sur glace avec « Tonton » Galliano décédé au mois de juin dernier mais aussi avec le regretté Jean Ferrand disparu en 1990.
En effet, ce dernier, qui fut l’ancien président du Comité national de hockey (CNHG) puis le président de la Fédération française des sports de glace (FFSG), n’avait pas hésité à donner un coup de main professionnel à Dany Galland lors de ses débuts en l’embauchant provisoirement dans sa société de vins et spiritueux. Je me souviens qu’un jour, j’ai rendu visite à Jean Ferrand qui venait d’être opéré à l’hôpital de la Timone à Marseille. Au cours d’une conversation sur le hockey pour se changer les idées, il m’avait dit : « Dany Galland n’est peut-être pas aussi talentueux que les autres internationaux issus du club de Gap comme Charlot Libermann, Robert Oprandi, Philippe Rey ou après eux Thierry Chaix et Christian Pouget, mais c’était quand même un excellent joueur. En plus ce gars, c’est une crème ! Pendant les matches à la Blache, il m’a souvent impressionné. »
Effectivement, comme je le dis en titre de cette tribune, notre ami Dany vient donc de « rentrer dans l’histoire » et il aura laissé incontestablement une trace dans le hockey sur glace français.


Je laisse maintenant la conclusion de cet article en forme d’hommage à Dominique Durand. Cette ancienne dirigeante locale et nationale, élue il y a deux ans au Temple de la Renommée de la FFHG (vice-présidente de l’ancienne FFSG), fut surtout la créatrice du championnat de France féminin avec Marie-Thérèse Renaud.
Elle m’a confié visiblement émue au téléphone : « L’image que je garde de Dany, c’est que c’était un grand Monsieur très élégant, toujours très courtois. L’anti-vedette qui était accessible sans aucun faux semblant. Avec lui, on pouvait parler en toute décontraction comme deux amis intimes. Il savait nous mettre immédiatement à l’aise et il cherchait toujours à rendre service quand il le pouvait. Il portait bien son nom de famille car Daniel était effectivement très galant ! »

 




Depuis plus de quarante ans Tristan Alric a été l’acteur et le témoin privilégié de l’évolution du hockey sur glace en France. D’abord comme joueur puis comme arbitre. Ensuite, en devenant le journaliste spécialiste du hockey sur glace dans le quotidien sportif L’Equipe pendant plus de vingt ans. Auteur de nombreux livres et d’une récente encyclopédie qui font référence, Tristan Alric a marqué également l’histoire du hockey français en étant le créateur de la Coupe Magnus et des divers trophées individuels. Avec un tel parcours, il est donc bien placé pour avoir une analyse pertinente sur notre sport favori. Le site Hockey Hebdo est donc heureux de lui permettre de s’exprimer régulièrement dans cette rubrique.
 


 
 
Lieu : Media Sports LoisirsChroniqueur : Tristan Alric
Posté par Christian Simon le 03/10/2024 à 11:00
 
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