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Hockey sur glace - Division 2 : Roanne (Les Renards)
Hockey sur glace - Entretien avec Romain Bonnefond
 
L'élite du hockey français ne serait pas ce qu'il est sans les divisions inférieures, le hockey féminin ou le hockey mineur alors Hockey Hebdo a décidé de donner la parole à ce qui font le hockey aujourd'hui comme Ici Romain Bonnefond, multi fonctions dans un club qui a su écrire un paragraphe dans le livre du hockey français.
 
Média Sports Loisirs / La rédaction, Hockey Hebdo Patrick Poitrineau le 27/12/2022 à 20:00
Interview Romain BONNEFOND
 
Hockey Hebdo a eu le plaisir d'interviewer, ou plutôt d'échanger avec l'entraîneur-joueur-directeur sportif du club de Roanne Romain Bonnefond où, au-delà des ambitions qu'il ne cache pas pour son équipe, il nous fait part de ses réflexions sur notre discipline et son développement dans la formation des jeunes.
 
 
HH : Romain, bonjour : cela fait maintenant votre 10ème saison en équipe 1ère de Roanne. Vous avez et continuez plus que jamais à jouer un rôle prépondérant dans le développement du hockey à Roanne. Si vous n'avez pas toujours évolué ici il faut néanmoins rappeler que vous êtes bien un « enfant du pays »,
Rappelez-nous le parcours de votre carrière riche de belles expériences, y compris à l'étranger.
 
RB : Tout a commencé lorsque j'ai quitté vers 15-16 ans le club de mes premières années, Roanne, pour Grenoble en junior. Puis j'ai connu ma première expérience professionnelle à Strasbourg où j'ai pu jouer avec l'équipe senior en Magnus. Assez satisfait de cette 1ère expérience je suis parti pour Morzine également en Magnus à cette époque.
Puis une rencontre m'a permis de partir en Russie. J'ai pu jouer ainsi au 3ème niveau russe qui était déjà très professionnel puisque l'on jouait jusqu'à 3 matchs par semaine et donc un boulot à plein temps avec un très gros rythme. Bref une très belle expérience.
N'ayant pu avoir mon visa de travail, il était compliqué de rester et donc je me suis retrouvé à signer un contrat de 3ème étranger en ligue B suisse. Si financièrement ce fut une belle expérience, nettement moins sportivement puisque seuls 2 étrangers pouvaient être alignés sur la feuille de match et donc j'étais le renfort de remplacement. Situation qui s'aggrava avec le lockout de la NHL qui permis à mon club, le HC Sarine-Fribourg, de se renforcer en cours de saison par des joueurs de NHL et du coup sportivement ce fut encore plus compliqué pour moi.
Si on peut comparer ces 2 expériences . . . 
C'est le sport majeur en Russie et même au 3ème niveau qui est une ligue de développement, les entraîneurs attendaient beaucoup des joueurs en tirant beaucoup sur la corde ; physiquement on travaillait vraiment très dur. On était plus de 30 joueurs et il fallait tenir car il y avait toujours quelqu'un près à vous remplacer. Cela reste une belle expérience mais après la Suisse ce sont des méthodes d'entraînement plus moderne bien que les entraîneurs soient également des russes. C'était pareil et à la fois différent avec l'avantage surtout de ne plus avoir ces longs et fatigants déplacements qu'imposait la taille de la Russie. La différence aussi et surtout avec la France, c'est vraiment très structuré, en termes de contrat, de droit des joueurs.
Entre la Russie, la Suisse et la France, trois visions différentes en matière d'entraînements de gestions etc. Ces 3 visions du hockey aujourd'hui transpirent dans ma façon de gérer mon club.  
 
 
 
HH : Vous êtes donc revenu en 2013 dans ce club où la famille était très impliquée puisque votre père en était alors le président. Tout de suite vous avez assumé un certain leadership en devenant le manager de l'équipe première.
Qu'est-ce qui vous a convaincu de revenir et aviez-vous alors déjà l'ambition de créer quelque chose de fort autour du hockey à Roanne pour pouvoir prétendre un jour à la montée en D1 ?
 
RB : Le club de mon enfance, Roanne, montait en D2 et j'avais donc une opportunité de revenir et l'aider à se construire. En fait j'avais des possibilités de continuer en Magnus mais mon agent qui était russe me dit : « je peux t'aider à ta reconversion en t'accompagnant pour un projet à Roanne ». Il nous a trouvé un mécène russe qui nous suivait en payant ma reconversion. Je ne coûtais du coup rien au club, apportant aussi des financements et des joueurs de son pays. Cela devait se faire pour une période de 3 ans ou je devais stabiliser le club à ce niveau et mettre en place un réseau de partenaires locaux. Mais la guerre, non pas en Ukraine mais en Crimée à l'époque, met fin au bout d'un an à cette entente, les sanctions européennes l'imposant. Cela a été un moment difficile laissant le club dans de grosses dettes. Je n'ai pas baissé les bras et j'ai pris vraiment en 2014 la pleine mesure de mon travail avec cette épée de Damoclès au-dessus de la tête et il fallait que ça marche afin que le hockey continue d'exister à Roanne. Mais maintenant cette période est loin derrière nous et maintenant tout va bien.  
 
Photo hockey Entretien avec Romain Bonnefond - Division 2 : Roanne (Les Renards)
Crédit photo CHR - Dominique Bonnefond
 
 
HH : Au cours de toutes ces années qu'avez-vous essayé d'apporter essentiellement pour continuer à progresser, au niveau travail comme au niveau organisation, dans un club qui jusque-là malgré une existence de près de 40ans s'était surtout contenté d'une approche plutôt loisir ?
 
RB : Ce n'est pas péjoratif de dire que le hockey à Roanne était tourné vers le loisir. Le hockey n'était pas alors un sport mis en valeur. Aujourd'hui le club a atteint une vraie légitimité avec une réelle notoriété sur la région du bassin. Cela parce que j'ai fait le choix de développer sportivement et économiquement le club. J'ai été chercher des fonds privés pour investir sur des joueurs, sur le réceptif des partenaires pour nous permettre de monter en puissance et nous permettre par la même d'aller chercher toujours plus de financements. Cela a été le premier levier sur lequel je me suis concentré et cela a plutôt bien marché. Aujourd'hui les recettes générées doivent nous permettre maintenant d'investir dans le hockey mineur. Mais on est encore au début de cela et on doit encore plus développer nos ressources pour entre-autre amener du personnel d'encadrement de qualité sur notre hockey mineur. Ce n'est pas encore tout à fait le cas aujourd'hui mais ça va venir. Beaucoup me disent que ce n'est pas dans le bon sens et qu'il faut d'abord travailler sur le mineur. Moi je ne suis pas d'accord. On est anonyme sur Roanne s'il n'y a pas d'équipe première qui marche et grâce à elle on a une notoriété. On a une écoute des élus et probablement que si la patinoire n'est pas fermée aujourd'hui à Roanne on le doit en grande partie à notre équipe première.
 
 
 
HH : Il y a eu durant cette période de 9 saisons des moments difficiles - sanction de la commission de surveillance par exemple - mais la plus frustrante fut certainement cette saison 2019/20 où très bien partie votre équipe vit sa dynamique arrêtée net par cette fichue pandémie. Est-ce cela qui vous a encore plus motivé et renforcé vos ambitions ou cela a-t-il mis un tant soit peu le club en difficulté ? (D'autant que vous avez dû ronger votre frein une année entière avec la saison 2020/21 annulée)
 
RB : Quand on construit un groupe cela prend du temps et c'était alors un groupe qu'on avait réussi à conserver et qui arrivait à maturité. Je ne vous cache pas que tous les voyants étaient au vert. C'était peut-être notre année, comme peut être pour d'autres, on ne le saura jamais. Mais ce qui est sûr c’est que cette année-là le groupe fonctionnait très bien. On ne va pas se mentir, ce fut un coup dur. Pourquoi ? Parce qu'on n’est pas le plus haut niveau français et quand des joueurs performent bien dans notre division, d'autres équipes au-dessus regardent ça et on vient les chercher pour évoluer une division au-dessus. J'avais réussi à maintenir dans un premier temps le groupe parce que les gars savaient qu'on pouvait faire quelque chose. Sauf que les gars avaient des offres pour la D1 alors que la D2 se retrouvait suspendue. La carrière est courte et ils ne pouvaient pas rester. De fait on a dû reconstruire un nouveau groupe pour un nouveau départ.
 
 
 
 
HH : La saison dernière est un peu une déception avec cette sortie dès les quarts de finale des play-offs ; à la réflexion pas tant peut-être par les 2 défaites face à l'hyper favori Morzine-Avoriaz que par le classement à l'issue de la saison régulière qui ne vous a pas permis de bénéficier d'un meilleur tableau. . .
 
RB :  C'est vrai, cela s’est joué de peu lors de la saison régulière. Une victoire à Annecy (rappel 2ème de la saison régulière avec 34 points et Roanne 5ème avec 30 points, HCMP et Toulouse 3ème et 4ème à 32 points) nous aurait projeté à la 2ème place (rappel, perdu d'un seul but) et on a peut-être laissé échapper des matchs à notre portée. Après honnêtement dès le début de cette saison je savais que ça allait prendre un peu de temps pour construire cette équipe.
 
 
 
HH : Quels constats et leçons en avez-vous tiré pour préparer au mieux cette nouvelle saison ?
 
RB : Comme j'avais un nouveau groupe en reconstruction, j'ai essayé d'asseoir ce nouveau noyau, en tout cas au niveau des JFL - j'ai ainsi mis quasiment tous ces joueurs sous contrat pour 3 saisons - pour préserver l'avenir. On a une jeune défense qui commence à accumuler une certaine expérience. La nouveauté est que j'ai du coup plutôt recruté des renforts avec de l'expérience pour équilibrer tout cela.
 
Photo hockey Entretien avec Romain Bonnefond - Division 2 : Roanne (Les Renards)
Crédit photo CHR - Dominique Bonnefond
 
 
HH : Pensez-vous avoir plutôt réussi à bâtir durant cette intersaison une équipe répondant à votre attente ? Sinon qu'auriez-vous aimé encore améliorer ?
 
RB :  On peut toujours faire mieux. Je pense juste qu'il me manque un joueur de centre JFL d'expérience. Mais j'ai des jeunes dans l'équipe qui sont en train de monter en puissance et peut-être qu'en cours de saison l'un d'eux prendra cette place.
 
 
 
HH :  Au-delà de l'équipe 1ère, quels sont les autres points importants que vous aimeriez améliorer au sein de l'organisation, surtout si vous obtenez cette montée en D1 ?
 
RB :  Il y a plusieurs axes où on a vraiment du travail à faire. D'abord le hockey mineur où il nous faut une personne entièrement dédiée à ça, qu'il pense à cela toute la journée et qu'il puisse mettre en place une vraie politique de développement. Aujourd'hui on a la chance d'avoir beaucoup d'aides-entraîneurs mais il faut quelqu'un pour superviser tout ça pour aller plus loin. C'est à ce jour un des points noirs qui freinent notre développement et ce point c'est simplement un problème financier. On n’arrive pas encore à dégager une enveloppe suffisamment importante pour trouver cette personne-là.
 
 
 
HH : D'ores et déjà vous sentez vous prêt, le club de Roanne se sent-il prêt à assumer clairement vos prétentions à la montée avec tout ce qui en dépendra pour la suite ? (Professionnalisation à tous les niveaux, budget en conséquence etc.)
 
RB : Je pense un peu qu’au même titre que lors de notre montée en D2, on ne sera pas un gros budget, en tout cas dans les premiers temps, mais on sera un club qui saura être un peu ''malin'' en étant intelligent sur le recrutement et sur la gestion financière. 
 
 
 
HH : En tout cas ce qui est sûr c'est que si vous obtenez cette opportunité de monter en D1 vous ne reculerez pas devant l'obstacle.
 
RB : Non on travaille pour cela ; tous les jours je me réveille en pensant à comment on va faire si on monte et comment on se développera. Car je pense que le développement économique n'est pas si différent entre les 2 divisions mais simplement on aura plus de poids au niveau de l'agglomération roannaise et le département. Si on veut pouvoir compter véritablement dans le paysage sportif du bassin de population ici, il faut être en division 1 pour simplement rentrer dans le sport considéré de haut niveau à Roanne.
 


PP : Suite à une question qu'il m'est venu à l'esprit à la suite de cette dernière réponse, nous allons très vite venir avec Romain Bonnefond sur quelques réflexions intéressantes sur la formation ; preuve qu'au-delà de l'ambition de construire une équipe de haut niveau ce problème lui tient vraiment à cœur.
 
 
 
 
HH : Avez-vous suivi les tribulations de votre club voisin que vous connaissez bien, Clermont-Fd * en D1 où, si les circonstances leur ont donné la possibilité d'y rester 3 saisons, ce fut pour autant un véritable chemin de croix et un constat d'échec sans appel. Avez-vous pu quelque part en tirer quelques réflexions ?
 
RB : Alors on ne va pas se mentir, les réflexions que j'en tire avant tout, tout est une question d'argent. Si vous n'avez pas les moyens vous n'avez pas d'équipe. Aujourd'hui vous avez beau faire de la formation, vous avez les meilleurs U20. Si vous n'avez pas d'argent pour les garder et bien ils partent. C'est normal une carrière c'est court. Aujourd’hui la règle des JFL qui a été instauré il y a quelques années pour augmenter le nombre de français dans le championnat est une très bonne règle pour le développement de nos jeunes mais simplement aujourd'hui un junior talentueux qui, 10 ans en arrière aboutissait en senior, maintenant il va vous demander un contrat parce que10 autres clubs le sollicite.
   
 
 
HH : Il y aurait peut-être aussi une sorte d'indemnité à la formation à instaurer comme cela se fait dans d'autres sports comme le football sinon sans cela les clubs plus fortunés auront bon droit d'aller puiser ailleurs les jeunes JFL qui leur manque.
 
RB : Oui je suis assez d'accord et je sais qu'ils font ça en Suisse tout en étant un peu plus mesuré. J'ai l'exemple en Suisse d'un jeune joueur U20 qui avait profité de circonstances particulières pour participer à un match de ligue B et parce qu'il avait participé à cette rencontre son indemnité de transfert était passé de 300 à 2800 francs suisse. Devenu trop cher pour le club de niveau inférieur qui voulait l'engager, celui-ci a dû y renoncer car sa valeur intrinsèque ne valait pas ce prix-là et ça avait bloqué ce joueur pour évoluer à un niveau qui lui correspondait mieux. Il faut trouver la bonne formule certainement, il faut faire attention mais il y a probablement quelque chose à faire.
 
 
 
HH : Cela fait plusieurs saisons maintenant que l'entente HCLR s'est installée à l'instar de bien d'autres ententes en France, mais à la différence notoire que 2 des 3 clubs sont en D2 et un ne rêve que de les rejoindre. Il n'y a donc pas de hiérarchie très établie entre eux comme on le voit généralement ailleurs avec un club en Magnus, un en D1 et le 3ème en D2 ou D3. Roanne en a-t-il retiré du positif et est-ce que cela n'est pas sans difficulté quand il n'y a pas cette hiérarchie bien tranchée entre les clubs ?
 
RB :  Avant je travaillais déjà avec Lyon alors en Magnus et c'est vrai que c'était plus facile de se prêter des juniors. Mais si les 3 clubs devaient se retrouver en D2, ce qui risque tout à fait d’arriver . . . on en discute en interne mais en toute probabilité chaque club garde ses juniors pour les utiliser en priorité pour son équipe senior. Le problème est pour les mutés. L'équipe junior de l''entente HCLR a droit comme toutes les autres à 5 joueurs mutés. Il ne faudrait pas que Clermont, ou Lyon, recrute les 5 mutés pour lui et si leur talent le leur permet, ils soient tous pour la même équipe senior. Si on recrute des mutés c'est d'abord pour l'équipe junior. Si après ce joueur peut impacter une équipe senior tant mieux mais il y aura discutions et on fera ça en bonne entente. Quand demain on aura les 3 clubs dans la même division (et je le souhaite à Lyon) il n'y aura pas d'animosité là-dessus. Chacun doit avoir ses joueurs. Bon, personnellement je ne recrute pas des U20 pour la raison principale que Roanne n'a guère de sens pour des jeunes la plupart étudiants dans une ville offrant très peu de cursus possibles. Pour nous cette entente est positive car cela permet à nos jeunes du cru de pouvoir pour les meilleurs se confrontre à ce qui ce fait de mieux en junior tout en restant à Roanne. Il y a quelques saisons j'avais poussé Sulyvan Puravet**  à évoluer à Clermont parce qu'il n'y avait pas cette entente. Aujourd'hui je n'aurai pas le même discours.
 
 
 
HH : Alors c'est vrai que cette entente offre aux juniors la possibilité d'évoluer dans ce qui se fait le mieux dans leur catégorie mais d'avoir une échelle de divisions est un plus ; on le voit pour certains clermontois partis pour Marseille, pour les U20 de Grenoble ou de Rouen ou pour Strasbourg. Ils ont pu avoir l'occasion de jouer en Magnus, en D2 pour les juniors voir les 2 comme Valentin Grossetête. L'entente HCLR n'offre malheureusement pas ces opportunités.
 
RB :  Attention dans un avenir proche je ne dis pas que ce n'est pas possible. Je pense entre autres que Lyon a tout le potentiel pour revenir en Magnus dans un avenir pas si lointain. Et pourquoi pas Roanne ou Clermont, voir les 2, en D1. Je pense que l'on aura intérêt à garder le même style de travail grâce à l'entente.
 
 
 
HH : Et donc pour vous qui ambitionnez d'améliorer sur Roanne la formation des mineurs cette entente vous aide dans cet objectif.
 
RB : Ah mais je pense même que si demain nous avions plus de 400 licenciés il faut la garder. Cela nous permettra de proposer tout type de hockey, du meilleur niveau à ceux qui veulent pratiquer sans nécessairement ambitionner le meilleur. (Le HCLR a en effet des équipes en junior élite mais aussi en junior excellence)
   
 
 
HH : Revenons pour conclure sur le championnat de D2. Meudon, après son cruel échec de la saison dernière semble avoir encore avoir monté le curseur et semble donc être l'équipe la plus ambitieuse. Vous confirmez cette impression qui semble la placer au-dessus du lot surtout dans la poule A ? Et qui dans le sud pour relever le défi ?
 
RB : C'est difficile de parler de la poule nord (la A) parce que chaque année elle paraît tellement hétérogène que ça paraît compliqué de savoir vraiment le niveau réel mais c'est clair qu’au niveau effectif Meudon a mis la barre très haute avec une belle équipe. Sinon dans le sud (poule B) Annecy sera à surveiller c'est sûr mais comme d'hab. et Villard je pense peut-être surprenant cette année. Je n’enlève rien aux autres équipes mais sur le papier là à l'instant T en ce début 2022 pour moi Villard et Annecy semblent un peu au-dessus de la mêlée.
 
 
 
HH :  Romain je vous remercie beaucoup d'avoir donné de votre temps précieux pour vous prêter à cet entretien.
 
 
 
*Clermont, Roanne mais aussi Lyon sont associé dans l'entité HCLR pour les équipes U15,U17 et U20.
** Sulyvan est arrivé en 2017 pour intégrer les juniors de Clermont qui jouaient déjà en U17 et U20 élite. L'entente a commencé lors de la saison 2019/20. Il revient cette saison avec les Renards.
 
 
Photo hockey Entretien avec Romain Bonnefond - Division 2 : Roanne (Les Renards)
 
 
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