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Hockey sur glace - Ligue Magnus : Grenoble (Les Brûleurs de Loups) |
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Hockey sur glace - LM Grenoble : Eddy Ferhi |
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Rencontre avec Eddy Ferhi, pour faire le point sur ses mondiaux et sur la saison à venir. |
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Grenoble, Pôle Sud, Hockey Hebdo |
Jean-Christophe Salomé le 02/08/2010 à 00:35 |
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| Photo : Laurent Lardière | | La dernière fois que l'on t'a vu sur la glace de Pôle Sud, c'était à l'occasion de France-Danemark (0-2, notre article), en match amical avant les mondiaux en Allemagne.
Tu as joué 2 matchs en Allemagne, contre la Suède (3-2, notre article) et les Etats-Unis (0-4, notre article) en poule de relégation. Contre, la Suède tu es sorti du match, que s'est-il passé?
Je suis sorti en milieu de 3e période. Déshydratation, il faisait très chaud, j'ai perdu beaucoup de sueur, beaucoup de poids, et malgré la réhydratation, ça n'a pas suffit, j'avais des crampes, la tête qui tournait déjà dès la 2e période. C'était difficile, j'ai bu autant que j'ai pu, je voulais essayer de finir le match car c'était un match plaisant à jouer, on ne joue pas les suèdois tous les jours. Fab (Lhenry) était au repos, ce n'était pas le moment de le jeter dans le bain alors qu'on a besoin de lui en pleine confiance. Dans la 2e période, je ne pouvais plus, les jambes étaient tétanisées, j'ai demandé le changement.
Est-ce que cela t'es déjà arrivé auparavant ?
Ca m'arrive de plus en plus souvent avec l'âge, mais on a mis des choses en place en terme de nutrition et d'hydratation qui font que je me sens vraiment bien cet été. Ces dernières années, ça m'est arrivé plus fréquemment, et c'était l'apothéose dans cette grande patinoire de Mannheim, il faisait excessivement chaud, c'était très compliqué à gérer.
S'il n'y avait pas eu cette chaleur là, j'aurais certainement terminé le match... dans un piteux état, mais je l'aurais terminé. La chaleur a accéléré le processus de sudation.
On a vu des mondiaux surprenants, avec 4 équipes qui ont créé la surprise (Danemark, Norvège, Allemagne et Etats-Unis). Qu'en penses-tu ?
C'est un peu à l'image d'un processus qu'on ressent, qu'on peut observer depuis plusieurs années: le niveau se resserre. Il n'y a plus un pays qui a une emprise sur-dominante, ni trois ou quatre pays qui dominent. Les allemands, les norvégiens, les danois, les suisses même si ça fait déjà quelques années, font un travail de préparation énorme, ont des championnats qui sont à la hauteur. Avant, une équipe des Etats-Unis pouvait se présenter aux mondiaux sans cohésion, sans trop de motivation et arriver à s'en sortir honorablement bien, mais là c'est fini. On a des nations comme celles citées qui ont des joueurs qui arrivent en NHL tranquillement, qui ont un niveau global qui se relève fortement, qui sont préparées et qui ont faim pour rencontrer des équipes comme ça. Je pense que c'est intéressant et que ça va forcer les grandes nations à mettre les manières pour performer. Les Etats-Unis n'ont peut-être pas envie de revivre ce qui s'est passé.
Comment aborde t'on la poule de relégation avec les Etats-Unis ?
C'est sûr que ça ne nous arrangeait pas forcément, mais que c'était contre l'Italie ou le Kazakhstan que ça allait se jouer, donc ça n'a pas changé grand chose. On s'est concentré là-dessus, en poule de relégation il y a toujours un match en joker, et c'était les Etats-Unis. On aurait aimé les battre, on les sentait affaiblis, pas forcément en confiance, on s'est dit pourquoi pas, on va tenter le coup. C'est une équipe qui a de la qualité technique, et le niveau global pour s'en sortir honorablement.
Ce n'est pas passé, loin de là, mais ça ne changeait pas grand chose pour nous.
| Photo : Laurent Lardière | Eddy Ferhi, lors de Suède-France | Les mondiaux sont aussi un événement où beaucoup d'agents et de recruteurs sont présents. Est-ce que tu as cherché à entrer en contact à cette occasion ?
J'arrive à 30 ans, ça fait quelques années que je suis à Grenoble, j'étais dans la démarche d'essayer de peut-être décrocher quelque chose à l'étranger, voire de donner un dernier petit coup de collier à ma carrière, voir ce qu'on peut faire. C'est vrai qu'avant ces mondiaux, je ne savais pas trop à quoi m'attendre, après une saison un peu compliquée, particulière, une place en équipe de France pas définie, je n'avais donc pas entrepris de chercher un agent. Suite à de bons mondiaux, je me suis dit que peut-être quelqu'un m'avait remarqué, j'ai pris beaucoup de plaisir, peut-être que ça s'est vu, donc j'ai contacté un agent juste après. Malheureusement, il y a deux, trois pistes qui sont allées un peu plus loin mais c'était très tard dans la saison pour aboutir, surtout le poste de gardien qui est en général bouclé assez vite.
Je reste persuadé que si je rajoute des bons mondiaux à ça, avec du travail, une bonne saison, en équipe de France aussi, et le travail un peu plus en amont d'un agent, ça peut le faire. On voit le gardien allemand qui était inconnu au bataillon et qui a décroché un contrat NHL sur un mondial. Effectivement, il a fait un excellent mondial, et c'est aussi l'équipe d'Allemagne. Les choses sont jouables et c'est ça qui est intéressant.
Il y a beaucoup de joueurs français qui évoluent à l'étranger. Est-ce que c'est plus facile pour un défenseur ou un attaquant ?
C'est plus facile pour un joueur de champ, quoiqu'il arrive. Les places sont moins chères étant donné qu'il y en a plus, et on est plus à même de faire un pari sur un joueur, si ça ne marche pas, on peut toujours le mettre sur une autre ligne, un peu moins sous les projecteurs.
En général, pour un gardien, il n'y a pas beaucoup de choix. Même un deuxième gardien, c'est souvent un jeune de leur pays. Ce ne sont pas des choses qui sont évidentes, mais ce n'est pas pour autant qu'il n'y a pas de possibilités.
Peut-être que ces mondiaux là m'ont permis de retrouver des sensations que je n'avais plus depuis longtemps, ou m'ont permis d'être remarqué, et il faudra construire là-dessus.
Est-ce qu'il y a un championnat, un pays qui t'attire le plus ?
Pas forcément, mais il faut aussi être réaliste. Pour la Suisse, c'est complètement bouclé. La Suède, c'est très trés relevé, et aller directement en Suède, ce n'est pas forcément évident, et les postes de 2e gardien sont souvent attribués à des jeunes suédois et ils ont parfaitement raison.
Pour monter les échelons tranquillement, il y a l'Autriche ou l'Allemagne. Ce sont de bonnes étapes pour prendre du plaisir, pour voir ce qu'on peut faire au plus haut niveau, et si ça ce passe bien, pourquoi pas continuer à monter.
Concernant Grenoble. Tu as été confirmé dans l'effectif début juin (contrat en cours de 2 ans).
Avais-tu connaissance de la situation du dossier du club avant la validation ?
On n'a pas une connaissance de fond des dossiers. Après, cela fait pas mal de temps qu'on fréquente les acteurs de ce club, je pense notamment aux (deux) présidents, assez bien pour savoir que quand ils nous disent que le club repartira, même si ce sera difficile, on leur fait confiance. Ca nous a demandé des efforts financiers auxquels je n'étais pas forcément préparé. C'est un dossier compliqué, on a des carrières qui sont courtes, des contrats auxquels on tient beaucoup une fois qu'on les a. C'est quelque chose qu'on essaie de garder. Le fait d'y toucher deux années de suite, et même trois car tous ceux qui ont des contrats longue durée ont vu leurs années revues à la baisse. C'est un peu difficile à accepter, mais l'essentiel est qu'on ne finisse pas comme Briançon et qu'on puisse encore jouer, vivre de notre passion et surtout se faire plaisir.
Je leur ai fait confiance, je ne me suis pas posé plus de questions. On a toujours un petit peu d'appréhension quand on apprend que la fédération rechigne à ceci ou cela, certainement à juste titre, je ne juge pas. On se demande si ces promesses vont être tenus, et au final, c'était dans la droite lignée de ce qui avait été annoncé. On n'est pas plus inquiets que ça, on n'est pas plus informés, mais on se dit que Grenoble survivra. Il y a quand même de quoi faire dans cette équipe pour faire en sorte que ça tienne.
A un moment, est-ce qu'on est pas tenté d'aller voir ailleurs, après avoir fait beaucoup d'efforts ?
Je le suis, mais pas ailleurs en France. J'ai vécu beaucoup de choses sympathiques à Grenoble, et c'est un euphémisme. Si je suis tenté d'aller à l'étranger, c'est pour le challenge sportif. En France, il n'y a pas forcément beaucoup d'endroits qui soient plus agréables pour un joueur de hockey que Grenoble.
Partir, pour moi, ce n'est pas pour fuire une situation compliquée. Je me sens embarqué dans cette histoire, et solidaire pour ce qui s'y passe. Je ne suis pas là que pour prendre de l'argent, mais pour faire des efforts quand il faut, mouiller le maillot.
| photo : Jean-Christophe Salomé | | On a une équipe grenobloise fortement rajeunie, avec pas mal de juniors qui montent en Elite. Est-ce que ça change les objectifs pour la prochaine saison ?
C'est sûr que ça les change, on va les annoncer avec un peu plus de retenue. On va voir ce que ce groupe va donner, s'il ya une alchimie, ce qui est très important, comment se comportent les jeunes, pas mal de choses sur lesquelles on va devoir être fixés assez vite.
Avant, on connaissait les joueurs qu'on avait, on connaissait notre expérience, on pouvait assez vite se jauger par rapport à la concurrence. Là, il y a encore pas mal de facteurs qui sont des points d'interrogation.
Les ambitions sont intactes, on a la chance d'avoir Jeff Dufour comme coach cette année, qui pour moi, est peut-être l'acquisition la plus importante du club. C'est quelqu'un qui sera un excellent coach et c'est exactement ce dont on a besoin.
Oui, on aura des hauts et des bas, les jeunes seront soumis à ces aléas là. Physiquement et mentalement, ils ne seront peut-être pas suffisamment matures, mais attendons de voir, les surprises peuvent être bonnes.
A propos des coachs, on a appris le départ de Mats Lusth assez vite, puis le départ surprise de Patrick Rolland. Comment se vit ce changement ? C'est peut-être différent pour des joueurs qui ont signé avec eux.
A l'époque, j'ai signé avec Gérald Guennelon. Je suis plutôt content du changement, je n'avais pas des relations exceptionnelles avec Mats, ni avec Patrick sur la fin d'ailleurs.
Je pense que le club en avait besoin, je suis persuadé que le sang neuf que Jeff va nous apporter, surtout dans ces circonstances, avec des jeunes qui ont besoin d'être aidés, je pense que Jeff sera largement à la hauteur.
La défense a été annoncée en premier, avec notamment l'arrivée d'Aymeric Gillet de Dijon.
Oui, il y a des jeunes qui montent, Vincent Llorca qui aura peut-être un rôle plus grand, Jason qui aura certainement plus de temps de glace que l'an dernier, Max (Moisand) qui va devoir confirmer.
On a une très bonne défense. Aymeric Gillet, c'est quand même une valeur assez sûre, il était à Dijon qui n'est pas forcément un gros club, il a toujours tenu un rôle plus qu'honorable, c'est un joueur qui est stable.
Je ne parle même pas d'Alex Roulleau ou de Viktor Wallin et compagnie, qui sont des joueurs sur lesquels on gagne des matchs. Je pense que c'est vraiment un argument à faire valoir, Jeff a décidé de le faire valoir aussi.
Tout va tourner autour de la défensive, de sa capacité à défendre évidemment mais aussi de générer de l'attaque.
As-tu suivi le recrutement des autres équipes ? Epinal par exemple, qui a recruté un bon gardien et fait de bonnes acquisitions ?
Oui, effectivement, mais ils avaient un bon gardien l'an dernier, je ne suis pas persuadé que le nouveau fasse vraiment la différence par rapport à leur suédois, c'était loin d'être le point faible d'Epinal. Ils ont signé Boisclair à l'attaque, qui est un gros gabarit, qui peut bien s'ajouter aux Plch et compagnie. Gervais revient, c'est un joueur dangereux quand il se sent bien. Il peut y avoir une belle équipe, mais les conditions sont difficiles avec la patinoire temporaire. Est-ce que les joueurs vont vraiment avoir envie de passer toute la saison là-bas, ça arrive malheureusement, c'est un facteur sur lequel ils doivent tabler aussi. Leur effectif est très beau, je leur souhaite de le garder.
Maintenant que Briançon n'est plus là, on a envie de jouer contre de bonnes équipes, donc si Epinal devient un challenger sérieux, c'est tant mieux pour tout le monde.
Qui est ton favori ?
C'est difficile à dire, mais Rouen s'est constitué une équipe de All-Stars. J'ai joué en plus avec le défenseur Juha Alen, en ligne américaine. C'est un gros finlandais, qui, physiquement, ne laisse pas sa place, qui n'est pas évident à manoeuvrer, et qui est un bon coéquipier. Je sais déjà que c'est une recrue de qualité.
Après, ils s'appuient sur une ossature qui n'a plus à faire ses preuves. Les tenants du titre sont, pour l'instant, les mieux placés au niveau des pronostics.
Angers, est une très belle équipe, mais Rouen est solide, avec Lhenry derrière.
Vous avez rechaussé les patins (sur la glace loisirs), comment se passe la reprise?
En tant que gardien, as-tu une préparation spécifique ?
Oui, cette année, on a mis en place une préparation spécifique qui me plait beaucoup, avec un nouveau préparateur physique qui a été très à l'écoute. J'avais des objectifs précis, perdre du poids notamment. Je crois que je n'ai jamais été aussi affuté, peut-être de ma vie, c'est à la hauteur de ma motivation et de mes ambitions.
Effectivement, pour l'instant, on ne monte que entre locaux, les joueurs qui sont sur Grenoble, pour essayer de se faire un peu de sensation, de sortir ses muscles de la salle de musculation. Ce n'est pas une reprise à proprement parler, mais ça se passe plutôt bien, c'est agréable.
Moi, en tant que gardien, j'ai un passage obligé tous les étés, c'est un stage que je fais à Verbier en Suisse, avec François Allaire, que je côtoie en stage depuis l'âge de 12/13 ans. C'est quelque chose que j'aime bien faire, qui me rappelle à mes bases. J'étais sur la glace pendant une semaine là-bas, une bonne préparation physique, une perte de poids, je pense que l'outil s'affute bien.
La prochaine actualité sur Grenoble, c'est la visite de la Coupe Stanley avec Cristobal Huet.
C'est incroyable. J'ai eu la chance de la voir déjà. Je connais un peu le gardien Suisse, David Aebischer, qui l'a gagnée avec le Colorado. A l'époque, on avait fait une soirée pour la Coupe Stanley. Je me souviens, la première fois que je l'ai vue, j'ai fondu en larmes. En tant qu'amateur de hockey, surtout nord-américain et qu'on sait ce que ça représente, c'est énorme.
A tous les gens qui la verront pour la première fois, j'adorerais avoir le droit de revivre cette chose là, c'est vraiment incroyable.
Après, le fait que ça arrive à Cristo, je ne pense pas qu'il y ait une personne dans l'hexagone qui mérite plus que lui une belle histoire comme ça, bien que ternie par plein de choses, c'était une saison compliquée pour lui. Ce qui compte, c'est que son nom soit sur la coupe, il y a contribué, il a largement mérité à être là, et maintenant, elle y est pour l'éternité. Sa gravure, "Cristobal Huet" sur la coupe, à travers les années, les générations, c'est une bonne consécration pour un athlète hors du commun et un mec incroyable. Ca rajoute encore plus de saveur à cette coupe qui est un peu française maintenant.
Sur un plan un peu plus personnel, tu es papa depuis quelques semaines. Comment le vis-tu ?
C'est incroyable. Ca change la vie. On me l'avait dit mille fois, je ne le comprenais pas et je ne pense pas que l'on puisse comprendre tant qu'on ne l'a pas vécu. On prend un peu de recul sur les choses, pas mal de choses qui comptent moins, et une qui compte beaucoup plus. Je pense que ce sera un moteur intéressant. Je passe 30 ans, pour moi c'est une deuxième carrière, j'ai envie que les choses changent un peu et ça va être une bonne motivation.
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Réactions sur l'article |
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Tatie38 a écrit | le 04/08/2010 à 11:01 |
ouf! on avait un peu compris mais on visite quand même Epinal depuis 2 jours (merci google earth)très joli |
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Hockey Hebdo a écrit | le 03/08/2010 à 23:07 |
Rectificatif :
Eddy Ferhi ne parlait pas de la ville, mais "des conditions difficiles dues à la patinoire temporaire et tout ce que cela complique dans la vie d'un joueur". (précision du joueur)
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a écrit | le 03/08/2010 à 09:14 |
Je dirais plutôt "maladroit" ! J'adore les Vosges (c'est magnifique, vraiment !) mais mes origines vosgiennes ne m'empêchent de dire qu'il y a aussi une très bonne qualité de vie dans le Dauphiné... et que ce Dauphiné ne se résume pas aux faits divers de Grenoble ! Ferhi dit quand même qu'Epinal s'est concocté une belle équipe et que c'est un sérieux challenger ! |
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Grenoblois d'Alsace a écrit | le 02/08/2010 à 20:51 |
Tout ceci est stratégique : faut assurer une bonne ambiance dans la nouvelle enceinte spinalienne. Et puis quoi, faut briser la glace, la pluie s'arrête à la barrière des Vosges, côté St-Dié et Epinal, et ne vient que peu de notre côté, sur Stras...
Sinon, très bel interview de notre Eddy qui devra encore nous sortir de gros pourcentages pour effacer peut-être 50 tirs par matchs cette saison. L'équipe paraît un peu juste pour figurer tout en haut, mais les demies sont jouables. On ne partira pas avec un handicap de 6 points cette fois...
D'accord pour dire que le champion devrait encore faire le gros titre dans un an ; la surprise est qu'il n'y arrive pas, et on adore les surprises !
Des surprises, j'en verrais bien justement à Epinal, chez nos cousins du plateau à Villard, ou à l'Iceberg. Bonne saison à tous. |
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pantang a écrit | le 02/08/2010 à 19:29 |
Je crois qu'il faut savoir reconnaitre qu'Epinal a moins d'atouts sur le papier que paris, Lyon ou Chamonix clairement, ca fait penser au chtis, tu pleure quand tu arrive et quand tu dois partir...classique.
Je pense ceci dit que Ferhi évoque quelques problèmes qu'a eu l'équipe par le passé avec des joueurs qui sont partis en cours de saison, et il semble considérer que le recrutement effectuée n'est pas totalement sécurisé de ce côté, c'est mon interprétation que je vous donne sans mesurer les dessous du truc, mais je ne crois pas qu'il s'agisse d'un quelconque manque de respect pour Epinal |
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simon a écrit | le 02/08/2010 à 18:09 |
ouais bonne interview, mais au sujet d'Epinal il a un peu dérapé dans ces propos je trouve. Je vois pas en quoi ça serai une ville pire ou meilleure que les autres pour vivre. Aller jusqu'a sous entendre que certain joueur pourraient partir en cours de saison juste par rapport la qualité de vie la bas s'est limite insultant pour cette ville et ses habitants, c'est trés limite. Et puis à Epinal y a plein de joueurs qui sont resté de nombreuses années et qui y sont encore, donc se qu'il dit n'a aucun sens |
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DernierAs a écrit | le 02/08/2010 à 11:50 |
Chacun est bien chez soit et mieux que chez le voisin. A part dire que la sélection Spinalienne parait dangereuse cette année et que ces derniers continues a avoir un bon gardien, je ne comprend pas ce qui choque.
Interview interessante, on apprend ce qui commence a paraitre un peu partout, que l'ambiance sous Lusth et surtout avec Pat Rolland ont commencé à se dégrader.
Petit Bémol quand Eddy évoque la défense, quid du fer de lance de cette dernière, notre international Captain Baptiste. |
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SC a écrit | le 02/08/2010 à 11:45 |
Pour ma part, je rejoins Guigui. Entre vivre à Grenoble où vivre à Epinal, mon choix est vite fait. Après chacun ses goûts, mais il me faudrait une sacrée augmentation pour quitter Epinal et sa douceur de vivre... |
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a écrit | le 02/08/2010 à 11:09 |
@ Guigui Le Dauphin,
Je vais encore poster un truc inutile que Monsieur Admin pourra enlever.... NO COMMENT.... c'est tellement lamentable ce genre de réaction, cette façon de généraliser, cette manie d'englober toute une région dans une série de faits divers ! Bon, j'espère que l'Admin enlèvera ton post aussi ! Sinon, c'est trop injuste !!!! LOL !!!!!! |
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gilles974 a écrit | le 02/08/2010 à 10:44 |
Tu as raison Tatie il est lucide et cela sent énormément la méthode Coué, on se rassure comme on peut! Je prendrais mal son commentaire si j'étais spinalien, mais vu que je suis amiénois et que chez nous il pleut tout le temps.......lol |
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Tatie38 a écrit | le 02/08/2010 à 09:35 |
lucide et sincère on adore! |
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pantang a écrit | le 02/08/2010 à 02:53 |
Vraiment une très bonne interview avec des questions et des réponses intéressantes. |
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Gerard_Baste a écrit | le 02/08/2010 à 01:17 |
Il fera surement un excellent cadre s'il décide de rester dans le monde du hockey après sa carrière. |
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