alexcrosby77 a écrit | le 22/05/2012 à 16:29 |
euuuhh.... il nous prend pour des blaireaux Tartari ou quoi ?
"Stéphan n'est pas réputé pour être un homme violent : que cela soit du temps où il jouait comme depuis qu'il entraine, s'il prône engagement et une bonne agressivité, cela a toujours été fait dans le respect de ses adversaires" et puis "J'ai demandé à Tom s'il était chaud. Je ne pouvais pas laisser passer un tel geste. Je voulais qu'il incite Petrov à revenir sur la glace pour en découdre à nouveau."
Demander à son joueur d'aller chopper celui d'en face, c'est stupide. Demander au plus stupide des joueurs d'aller choper le gars d'en face ç'est encore pire ! Du coup, il envoie un joueur qui traverse la glace en largeur pour sauter par dessus la balustrade et lancer le combat !
Il y a des moyens plus discrets et intelligents de régler les comptes sur la glace ! La technique de catcheur qui consiste à sauter par dessus les cordes, excusez moi M. Tartari mais bon....avec votre expérience, vous saviez sûrement parfaitement ce que vous faisiez!
Enfin, le blog des boxers qui arrondit les angles de l'histoire du genre "Nous essayerons d'être le plus objectif possible en relatant les faits et les émotions tels que nous les avons vécus sur le moment" + "Et pour bien comprendre la suite, je vous propose de vous mettre dans la peau de S.Tartari"...c'est un peu léger comme ligne de défense ! En tout cas, avoir de l'objectivité sur cette situation, c'est impossible.
Je renverse la situation "Mettez vous à la place du banc de Montpellier:
- ils n'ont pas plus vu que vous le geste de leur joueur
- ils n'ont pas la version du docteur que vous seul possédez
- ils se font attraper par la patrouille avec un joueur pénalisé (peut-être légèrement, mais là ce ne sont pas eux les responsables).
- ils voient un coach de Bordeaux lancer ses chiens sur la glace pour refroidir tout le monde...
Bref, vous voyez que tout est une histoire de point de vue et d'interprétations. Vous avez la vôtre, qui a conduit aux évènements que nous connaissons maintenant.
Vous n'en sortez pas grandi, malheureusement.
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